1. Au temps de l'amour courtois


    Datte: 17/10/2017, Catégories: fh, historique,

    ... dos, son torse puis descendent vers son ventre. Enguerrand ressent une curieuse sensation lorsque les cuisses sont à leur tour frictionnées. La femme est penchée sur lui et il voit sa lourde poitrine ballotter à travers son décolleté alors qu’elle le savonne énergiquement. Elle a des seins ronds et blancs. À sa grande honte, il voit son membre grossir et se raidir. La femme ne semble point s’en offusquer, elle lui sourit même. — Hé bien messire, voilà qui montre que vous devenez un homme. N’ayez point de gêne, c’est là chose naturelle. Soyez content au contraire d’être aussi bien membré à votre âge, c’est une douce et belle chose de voir un tel vit. Levez-vous. Perrine et moi allons vous sécher. Rouge de confusion, Enguerrand se redresse, son pénis pointant fièrement comme un étendard. Une serviette chaude l’enveloppe, mais quelle n’est pas sa surprise de voir la douce Perrine s’agenouiller en face de lui et approcher une main de son membre. — Nous ne pouvons vous laisser ainsi. C’est très inconfortable pour vous et inconvenant. Imaginez que le comte ou la comtesse s’en viennent ici vous voir. Ayez confiance en nous, nous allons vous soulager de cela. Avec un air attentif, elle commence alors à faire aller et venir ses doigts tout au long de la verge tendue. Elle tient délicatement ses testicules ronds et lisses dans le creux de son autre main. Enguerrand ne sait quoi dire, mais il sent des frissons de plaisir monter le long de ses reins. Perrine caresse le gland du bout des ...
    ... doigts et refait glisser sa paume avec douceur. Cela dure un long moment. Puis elle entreprend un mouvement de branle plus énergique, cette fois-ci en y mettant les deux mains. Elle sourit en voyant le jeune écuyer, les yeux hagards, trembler de tous ses membres et mollir sur ses jambes. C’est l’annonce d’une belle jouissance et en effet, c’est avec contentement qu’elle reçoit plusieurs giclées de semence qui vont se perdre dans son décolleté. Enguerrand en a eu le souffle coupé ; son cœur bat follement. L’autre servante essuie alors son sexe qui se recroqueville piteusement comme s’il était honteux de ce qui s’était passé. C’est la première fois qu’il connaît une telle sensation, et il comprend qu’il sera prêt à tout pour la connaître à nouveau. Une heure plus tôt, il regrettait de ne pas être novice dans un monastère. Désormais, il se dit que ce serait folie de faire vœu de chasteté. Du moins tout de suite. — Hé bien, Perrine, quelle ardeur ! Voyons si je saurais mieux faire. Maintenant c’est l’autre servante qui entreprend de le caresser. Elle aussi y va tout en douceur afin de ne pas brusquer le garçon. Il a fermé les yeux de contentement, ne croyant pas ce qui lui arrive. C’est une sensation humide qui les lui fait rouvrir. Stupéfait, il découvre que son membre, à nouveau raide, a disparu aux trois quarts dans la bouche de cette femme dont la tête va-et-vient à un rythme régulier. Ce qu’il ressent est encore plus fort que tout à l’heure. Il comprend ce qui va se passer. ...
«1234...9»