Anne s'étonne
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
ffh,
couple,
couplus,
Collègues / Travail
pénétratio,
couple+f,
... bureau. Il l’allonge dessus sur le dos, les fesses en porte-à-faux, et lui fait tenir ses jambes grandes écartées. Il la possède de nouveau, ses mains caressant et pétrissant la poitrine. Sylvie appelle Anne : — Approche-toi. Regarde ; regarde comme il te baise… Quand Anne est assez près, Sylvie lui prend une main qu’elle serre dans la sienne tandis que Patrice crie : — Oh, Anne, que c’est bon d’être en toi ! Son pieu ressort presque entièrement avant de pénétrer profondément ; Sylvie gémit. Il va de plus belle, gémissant des « Anne, Anne… » puis, arrivé à l’acmé du plaisir : — Anne, tu me fais jouirrrr… La main de Sylvie serre de plus en plus celle d’Anne qui ressent les tressautements de la jouissance remonter des doigts de Sylvie vers son corps à elle. Les deux amants restent soudés un temps. Anne les contemple ; elle ne sait plus qui elle est. Elle a presque failli jouir sans se toucher. Elle sent son string inondé. Patrice se retire de Sylvie, le sexe un peu ramolli ; il a un sourire béat. Il embrasse Sylvie puis sort de la pièce en disant : — Je prends une douche. Se relevant, Sylvie prend Anne par le bras et l’emmène vers le salon. Elle ramène de quoi se rafraîchir et s’assied à côté d’Anne dans le canapé. — Tu ne nous en veux pas trop ?— Vous étiez très beaux…— Toi aussi tu es magnifique ; si tu savais le plaisir que tu m’as donné en nous regardant… Tu as pris du plaisir, toi ?— Oui.— Montre-moi. Tu as vu ma chatte, je veux voir la tienne. Anne se lève et retire sa ...
... jupe, puis son string trempé. Elle se rassied, les cuisses écartées, dévoilant son abricot tout lisse et luisant. Sylvie pose une main sur le genou d’Anne et demande : — Je peux toucher ? Anne est troublée par le contact de la peau de Sylvie sur la sienne ; elle ne répond rien, mais laisse les doigts glisser le long de sa cuisse. La main s’approche du sexe, le contournant sans le toucher. — Comme c’est doux ! Anne a fermé les yeux, dans l’attente. Sylvie a posé une deuxième main sur elle, qui comme la première la caresse sans toucher les lèvres gonflées et humides. Patrice est revenu ; il est debout à côté d’elle, et le spectacle lui a redonné toute sa vigueur. Sylvie s’approche de l’oreille d’Anne et lui susurre : — Mets-toi à quatre pattes sur le canapé : j’ai envie que Patrice voie ton cul. Anne obéit. Elle cambre un peu son dos pour faire ressortir la rondeur de sa croupe. Elle repose sa tête sur l’épaule de Sylvie et imagine le regard du mâle. Patrice pose ses mains sur les fesses offertes, il les caresse sous toutes les coutures, doucement d’abord puis plus fermement, ses doigts s’enfonçant dans la chair douce et généreuse. Anne se laisse faire avec délice. Elle sent, en plus des mains, qu’un autre membre se pose sur elle. Un sexe épais qui se cale dans sa raie, va-et-vient doucement, presque brûlant. Sylvie dit : — Il veut te baiser maintenant ; tu veux ? Pour toute réponse, Anne écarte un peu ses cuisses. Le gland vient s’écraser à l’entrée de son minou ; ses lèvres ...