Belle famille (2)
Datte: 10/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
alliance,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
Belle famille (2) Résumé du premier épisode : Camille passe le week-end dans sa famille avec son fiancé, Boris. Il y a sa tante, Claudine, son frère, Dominique ainsi que ses parents Lucien et Josiane, qui fait beaucoup d’effet à Boris ! Les yeux grands ouverts dans le noir, j’écoutais les bruits de la nuit : le concert des animaux, les hululements, jappements, coassements divers, les craquements du plancher au-dessus de nos têtes, dans le grenier. J’avais cru y entendre des pas. Camille m’avait rassuré «ce sont des loirs qui nichent là, ils font parfois un boucan terrible». Mais peut-être en fait était-ce le silence qui m’avait réveillé… Je suis un citadin. Le glissement d’une voiture sur la chaussée mouillée, le vacarme des poubelles au petit matin que l’on entend dans un demi sommeil avant de se retourner l’oreiller sur la tête et de se rendormir, rassuré, sont pour moi des bruits familiers. Ici, rien… à part ces sons bizarre que l’on essaie vainement d’identifier. Un silence sépulcral. «Parle tout bas si c’est d’amour, au bord des tombes»… Je regardais Camille allongée à mes côtés. Elle avait repoussé la couette. Elle portait un Tshirt long qui bouchonnait autour des hanches et la découvrait… Quelle beauté ! Les cuisses fines et musclées, le petit ventre bombé, la touffe en bataille. Je me penchais pour la contempler Le nez au raz des poils, je regardais la fente sagement refermée après nos ébats de la soirée. La corolle tout à l’heure largement ouverte pendant qu’en ...
... bon laboureur je fendais de mon soc la fleur grasse à présent repliée sur elle-même, ne laissait plus apparaître qu’un trait, net et rectiligne. J’y mis la langue doucement, avec beaucoup de salive. J’adorais la sentir s’entrouvrir comme un petit animal craintif qui se demande si c’est bien la pluie qu’il attendait… Il m’étonnerait fort que ce soit l’origine du monde… Mais c’est sûrement son mystère. Le dîner m’avait laissé une étrange impression. J’avais fait la connaissance de Claudine. Très belle femme, grande et sophistiquée, avec des jambes canons et une poitrine qui n’avait rien à envier à celle de Josiane mais qui, sur cette haute silhouette, paraissait mieux proportionnée. C’est surtout Dominique qui m’avait impressionné. La ressemblance avec Camille était hallucinante. Ils semblaient véritablement issus du même oeuf et paraissaient ne pas même avoir besoin de se parler pour communiquer. En revanche ils passaient leur temps à se frôler, à se toucher comme s’ils cherchaient en permanence à s’assurer de la présence de l’autre… En toute inconscience. Personne ne s’en formalisait tant cela devait leur paraître naturel, mais j’en ressentais une indéfinissable impression de malaise. Un craquement plus net, plus proche. La chambre à côté de la nôtre. Lucien ? Non, trop léger. Josiane ! Les sens en alerte, j’écoutais attentivement. Des glissements dans l’escalier. Je me levais doucement. Camille soupira et se retourna. Je m’immobilisais, mais sa respiration repris un rythme ...