Belle famille (2) - Histoires de Sexe

Belle famille (2)

... régulier. Je bandais. J’hésitais à enfiler un slip. Non. À poil ! J’avais envie de renouveler notre rencontre de l’après midi. Je voulais encore sentir sa main sur ma queue… et peut-être un peu plus ! Je me glissais sur le palier et refermais la porte de ma chambre avec précaution. L’escalier était désert. Je descendis. Un trait de lumière sous la porte des toilettes. J’allais dans la cuisine et me servis un verre de lait. Je m’installais dans l’encadrement de la fenêtre et attendis qu’elle sorte. La lune était pleine et sa lueur ne laissait rien ignorer de ma tenue ni de mon état. Et si c’était quand même Lucien ? Bah, il pourrait aussi bien me tripoter la queue à charge pour moi de lui rendre la pareille !… Non, je déconne. On boirait une bière entre hommes. Un bruit de chasse d’eau, une silhouette qui se découpe dans l’encadrement de la porte. Elle marqua un temps d’arrêt en m’apercevant. «Boris ?» Elle portait une nuisette refermée par un ruban nouée au-dessus de ses seins et qui s’écartait sur ses cuisses. Ultra courte elle ne dissimulait rien d’une touffe extraordinairement fournie qui lui mangeait le bas du ventre. «J’avais soif» Pas très percutant mais comment lui avouer que je n’étais descendu que pour la croiser, dans l’espoir qu’elle me touche et qu’elle m’abandonne tout ou partie de son corps ? «Juste au moment où j’avais envie de faire pipi, quelle coïncidence !» Elle s’approchait en disant cela et ses yeux chaleureux démentaient l’ironie du propos. «Tu ne m’as ...

... pas l’air d’être un garçon très sage ! Il y a un temps pour parler et un temps pour se taire. C’était à elle de décider. Rien de ce que j’aurais pu dire ne pouvait la convaincre. J’avançais la main et lui touchait les seins qui réagirent immédiatement. Les larges aréoles brunes qui se dessinaient nettement sous le tissus se contractèrent et les pointes bourgeonnèrent. De gros tétons, longs et épais, bien différents des petites pointes de jeune fille de Camille ! « Tout cela n’est pas bien raisonnable», dit-elle en s’emparant de ma queue. Ma main se porta à sa chatte. Elle était trempée. Pendant que je la fouillais sans ménagement, elle ne me quittait pas des yeux. Son regard curieux, extraordinairement attentif et pourtant bienveillant, comme amusé, me faisait une profonde impression. «J’avais envie que tu me suces !» Voilà, c’était dit. Elle se mit à rire doucement. «Rien que çà ! Tu pensais que j’en aurais envie ?» Evidemment qu’elle en avait envie, ça se voyait comme le nez au milieu du visage. Elle compris ma pensée et changea de tactique. «Et tu crois que ça ferait plaisir à Camille ?» Pas grand chose à répondre à cela. Dans ces cas là il vaut mieux ne pas se mettre à la place des autres et s’en tenir aux faits. D’autant que son expression démentait ce que le propos aurait du avoir de définitif et qu’elle n’avait pas lâché ma queue. Ma main non plus n’avait pas quitté son entrecuisse et mes doigts s’activaient en elle sans rencontrer de résistance. «Camille dort et tu ...