Belle famille (2)
Datte: 10/11/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
alliance,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
... pression. J’étais en Claudine. Elle poussa un petit cri mais ne se déroba pas. Au contraire, il me sembla qu’elle tendait le cul pour aller à la rencontre de l’épieu qui la perforait. La main de Josiane m’empêchait d’aller à fond. «Vas y doucement, je veux qu’elle te sente rentrer de toute ta longueur» Je m’enfonçais doucement. À travers la paroi séparant le cul du con, je sentais les doigts de Claudine le long de ma queue. J’étais entièrement entré, la contraction du sphincter m’écrasait le vit. Je ressortis tout aussi lentement. «Maintenant vas-y, défonce là !» J’y allais de bon coeur et la pistonnais. Claudine bredouillait : «Salaud, tu me défonces, tu m’encules… et elle me touche, elle me branle… salauds, vous allez me faire jouir…» Elle se mit à râler, j’accélérais encore le mouvement. J’allais exploser en elle mais Josiane me fit déculer. «Du calme, tu n’as pas encore tout visité et elle n’a pas eu son compte» Claudine s’était redressée et retournée; elle semblait d’accord avec cette appréciation. «Nettoie-le avant qu’il t’enfile» Elle ouvrit docilement la bouche et m’avala. Je sentais sa langue s’activer. Quand Josiane jugea que cela avait assez duré, elle la repoussa par les épaules de façon à ce que Claudine s’allonge sur la table, les fesses au bord du plateau. La robe de chambre largement ouverte dévoilait son ventre, ses seins. Josiane releva les jambes et les écarta. Le chemin de la fente m’était largement ouvert et je m’y enfonçais. Les yeux fermés, Claudine ...
... râlait doucement. Elle accompagnait l’action du mandrin qui la perforait. Son basin venait à la rencontre du mien et quand nos ventres se heurtaient j’atteignais le fond de sa matrice. Je voyais que sa main s’activait entre les cuisses de Josiane qui eut un frémissement et s’abattit sur la poitrine de sa soeur dont elle absorba les tétons. Elle baillonna Claudine de sa main pour étouffer des cris qui auraient pu réveiller toute la maison. Je n’avais pas encore jouit et j’accélérais mon mouvement, mais encore une fois Josiane m’arrêta: «C’est dans une bouche qu’il voulait d’épancher» dit-elle en retirant ma queue. Avec la même docilité, Claudine repris sa fellation. Elle était loin d’atteindre, dans cet exercice, l’habileté de sa soeur. À dire vrai, je n’avais jamais encore véritablement jouit de la bouche d’une femme. Elles s’étaient toujours activé sans provoquer l’éjaculation et si je finissais par jouir dans leur bouche, c’était au terme d’une masturbation dans laquelle leur main, ou la mienne, jouait le premier rôle. Les quelques secondes passées dans la bouche de Josiane m’avaient donné à penser qu’elle aurait pu être la première à me sucer véritablement. Elle comprit la situation et pris la chose en charge. Quelques coups de poignet suffirent à ma libération et je giclais dans la gorge complaisante. J’eus quand même la satisfaction de la sentir avaler mon foutre avec gourmandise, ce que j’aime pardessus tout. «Alors, comment est-il ?» «Moins gros et moins abondant que ...