1. Belle famille (2)


    Datte: 10/11/2020, Catégories: fh, fhh, alliance, intermast, Oral pénétratio, fdanus,

    ... dégoulines» Elle ne mit qu’une réserve de forme à sa capitulation. «Je te suce à condition qu’après tu ailles te coucher sans histoire» Mais comment donc ! Elle se pencha sur le membre qui se dressait vers son visage et l’avala. La queue bien enfoncée dans sa bouche je sentais la langue qui s’activait autour du gland. Elle était restée les jambes droites et sa croupe tendue vers l’entrée de la pièce ne devaient rien laisser ignorer de sa fente et du petit trou qui, dans cette position, la surplombait. Bon Dieu que j’étais excité ! Par cette femelle à la sensualité animale ou par la situation ? Sans doute les deux. Tout à coup, la lumière inonda la pièce. Foudroyés, aveuglés, nous regardâmes l’intrus. Claudine! «Vous faites une belle paire de salauds, tous les deux !» Ce fut évidemment Josiane qui réagit le plus vite. «Éteins donc cette lumière et viens par ici» A ma grande surprise Claudine obtempéra. «En fait tu tombes bien, reprit Josiane, je ne voulais pas laisser ce garçon dans cet état mais j’étais embêtée par rapport à Camille. Alors que tu n’as pas ce problème» «Tu rigoles» «Allons ne fais pas ta mijaurée, je sais bien que tu crèves d’envie de te faire mettre et tu sais très bien ce que tu perdrais si tu déclenchais un scandale dans cette maison !» Je suivais cet échange sans comprendre. Josiane poursuivait : «Montre-nous ce que tu as là dessous» Claudine portait une robe de chambre en pilou bleu lavande assez horrible que Josiane déboutonna avant d’en écarter les ...
    ... pans. Je constatais avec stupéfaction que dessous, elle était nue, à l’exception d’un porte-jarretelles et de ses bas. Pas de culotte mais un ruban de velours noir autour du cou. Sa chatte soigneusement taillée se distinguait de celle, naturellement peu fournie, de Camille comme de la sauvagerie de celle de Josiane. Celle-ci dit à mon intention : «Tu vois c’est moi qui suis une salope, mais elle est toujours prête à s’exhiber. Elle s’attife ainsi quand elle a envie de se regarder en train de se masturber» Elle la saisit par le cou, la retourna et la courba, les seins contre la table de la cuisine, en remontant les pans de la robe de chambre sur ses hanches. Elle glissa une main contre l’intimité de Claudine, le majeur glissant sur la fente et le pouce pressant sur l’anus. «Tu dois nous observer depuis un moment pour être trempée comme ça !» Elle avait introduit deux phalanges du pouce dans le trou du cul et le majeur avait entièrement disparu dans le vagin pendant que l’index essayait d’en faire autant, sans trop de difficulté, apparemment ! Claudine gémissait, les yeux fermées, la joue posée contre le plateau de la table. La main libre de Josiane avait repris possession de ma queue et me tirait vers la croupe offerte. «Tu vas l’enculer pour lui apprendre à jouer les voyeurs !» Le pouce m’avait laissé la place. Josiane n’avait pas lâché ma verge et pressait le gland contre l’oeillet. Son autre main continuait à s’activer dans la fente. Je sentis le sphincter céder sous la ...