1. Offerte à mon photographe et son Patron (2)


    Datte: 18/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Un peu plus tard, arrivait un homme distingué, style grande bourgeoisie, vieille France dirait mon père. Quand il me voit, ses yeux pétillent comme des feux clignotants. Il me baise la main, et s’assoit en face de moi. Très vite, il m’explique ce que veut monsieur André. Il m’explique comment on va procéder pour faire semblant. Je dis halte, c’est clair que je ne veux pas de trucage, je veux sentir, connaitre, vivre. Si ce n’est pas que pour moi, c’est aussi pour mon bonhomme maigrichon. Mon tout beau me prend la main, on vient de signer un pacte, tous les deux. Le distingué monsieur s’incline, debout en face de moi. Pourtant, en pro, monsieur André insiste pour y aller de manière progressive. On fixe des règles, comme quoi, pour commencer, tout s’arrête au premier sang. Et on est go. La main dans la main, on grimpe tout là-haut. Une fois dans la tour, c’est le paradis. — « Vous savez, cette tour date du 16ième. Dans l’ensemble rien n’a changé. Le donjon est tout en haut. Alors, André m’a dit que vous aviez joui avec la cire ? » — « Et comment, je n’ai jamais pris mon pied comme ça. Il n’a pas oublié de vous dire qu’il m’avait fessé avec sa ceinture. » — « Non, pour tout vous dire, il m’a tout raconté. Il n’en revient pas que vous ayez aimé comme ça, à jouir de la sorte. » — « Ben moi non plus, vous savez. Je suis la première à être sur le cul. Wow, c’est ça un donjon ? » — « Et oui, comme à l’époque de l’inquisition, enfin, presque. On n’est plus à cette époque de sauvage. ...
    ... C’est là que je fais souffrir, que je dresse et que je fais jouir aussi. — « Je vois qu’André y a son matos. » — « Bien sûr, vous le voyez porter plus de 100 kilos de matériel sur le dos et le monter à chaque fois ? » Je le pris dans mes bras, lui roulais une pelle d’enfer. En sachant que monsieur André voulait encore faire des photos, j’avais gardé mon corset sous mon pull. J’étais nue, monsieur Jean m’attachais face à une croix en bois. J’avais le grand frisson, comme sur un grand huit. Il claqua mes fesses, le mmmh qui sortit de ma bouche sembla lui plaire. André était près, moi aussi, un peu apeurée, je ne le cache pas. Monsieur Jean m’explique ce qu’il va me faire et je l’arrête immédiatement en lui demandant de me faire la surprise. Sur mes yeux, photos oblige, il me met une demi-cagoule, elle ne recouvre que le haut de mon visage. Derrière moi, le bruit d’un flash se fait entendre. Mon André se dit prêt, on est go. Monsieur Jean me caresse le dos, sa main est douce, très douce même. Cela ne dure pas, les lanières d’un martinet lacèrent mon cul et les autres suivent à une vitesse presque excessive. Je le supplie de ralentir, je veux profiter un max de mon supplice. La bouche de mon bourreau se pose sur le mienne. En fin connaisseur, il va prendre son temps. Alors il espace les coups de martinet et je m’en délecte. Pourtant, il frappe fort. Enfin, il me retourne, je peux voir mon dos, mon cul dans un miroir, tout est rouge. Maintenant, c’est le côté face de mon corps qui ...
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