1. Offerte à mon photographe et son Patron (2)


    Datte: 18/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... va déguster. Solidement fixée à cette croix, je vois mon André poser une caméra. Monsieur Jean me remet ma demi-cagoule et rouler jeunesse. Ma poitrine est la première à faire les frais de ce martinet. Il ne fait pas réellement mal, mais c’est l’effet que cela procure. Dans ma tête, c’est le cinéma qui se fait dans cette partie de mon anatomie qui fait le reste. Et je jouis, jouis encore et encore. Il avait dit y aller crescendo, il tient ses promesses. Mon sexe ne bave dans tous les sens du terme, je mouille et il chauffe sous les lanières de ce martinet. — On passe une vitesse de plus, la cravache. Dix coups par seins. Après, ce sera les pinces. André photographie à tour de bras, sa caméra me filme. Je suis aux anges, mon corps brule d’un incendie qui ne s’est pas éteint depuis cette nuit. La cravache, c’est autre chose, les coups sont plus espacés, mais la douleur plus longue à s’estomper. De mes pieds à mes épaules, mes aisselles, tout y passent. J’avoue sans honte que je jouis en souffrant le martyre sur ma croix. Si mon père avait pu me faire jouir de la même manière, je ne lui en aurais pas autant voulu. Mais je m’épuise, le manque de sommeil, mes orgasmes à répétition. Les pinces commencent à mordre ma peau. C’est plus douloureux que je ne le pensais. Je n’y tiens plus et dis le mot magique et tout s’arrête. J’explique que j’ai présumé de mes forces, que je suis vidée. Là, monsieur Jean m’explique que c’est aussi le but du SM. Plus on épuise le soumis, plus il ...
    ... souffre. Sauf que là, j’en peux plus, je dis halte. Mon André me délivre après avoir arrêté la caméra. Il me retire ma cagoule, il m’embrasse tendrement. Monsieur Jean y va aussi de son baiser. C’est que lui aussi il embrasse bien. De retour chez moi, après une très longue douche avec André, il est là, sur mon canapé, il me baise et il me baise bien. Mon maigrichon me parle chiffre, j’avoue que je ne suis plus en état de me faire une idée. Et à force de parler de chiffre, je m’endors dans le creux des bras de mon nouvel amant. Celui-là, je vais tout faire pour me le garder. Même si pour ça, je dois baiser avec d’autres ou me faire torturer. Mais ça, je crois bien le lui avoir dit dans mon demi-sommeil. Quand mon réveil me sort de mes rêve, je n’ai qu’une envie, l’envoyer apprendre à voler par la fenêtre. Mon biquet d’amour roupille toujours près de moi. Je le couvre et file prendre une longue douche. Une tartine, un café et me voilà en chemin. Bah, c’est à peine à trois minutes à pied. Une fois dans ma superette, c’est parti pour une journée de jérémiade des clients, de la copine qui s’est fait paquée, du gérant qui a pas baiser ou mal baiser sa maîtresse à défaut de sa femme etc. etc. En gros, si vous ne l’avez pas remarqué, je suis le confessionnal de cette boutique. La mise en place terminée, on se boit un café et voilà, c’est partie pour les longues litanies et ça me gonfle. — « Bon, les filles, je vous raconte mon weekend. Pour une fois dans ma vie, j’ai fait des folies de mon ...
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