L'Aurore d'une autre vie (14) - Histoires de Sexe

L'Aurore d'une autre vie (14)

... beaucoup moins importantes et je pus davantage contrôler mon plaisir. Mes mains passaient sur son visage, ses oreilles, ses cheveux, et ma bouche inlassablement sur la sienne. C’était génial, nous adorions ça. Lorsque je sentais l’éjaculation venir, je m’arrêtai un instant pour faire redescendre un peu la sève. Mais le temps passant, à force de faire, j’avais beau stopper et stopper, ma verge atteignit un point où chaque reprise de mouvement refaisait monter l’excitation d’un coup, pour arriver finalement au point de non-retour ; lorsque ce fut la fin, je donnai quelques derniers vigoureux coups de hanches qui claquaient contre la peau d’Aurore afin d’éjaculer le maximum possible. La sortie me soulagea, j’avais l’impression d’en donner des litres entiers tellement j’avais non seulement attendu le rapport, mais aussi l’avais fait durer. Un puissant souffle jaillit de ma bouche, je ne bougeai plus, enfoncé au le plus possible dans le vagin de ma cousine. Il me fallut quelques secondes pour m’en remettre ; lorsque je retrouvai mes esprits, ma verge, visiblement épuisée, tomba presque d’un seul coup. Ma partenaire et moi nous regardions avec coquinerie, les visages illuminés et un rire nerveux commun résonna dans la voiture. Quelques derniers baisers sur elle avant de nous parler : — Alors ? demandai-je dans un souffle. — C’était super ! Pouh ! j’ai chaud ! — Ok, je vais ouvrir les fenêtres. — Non attends, pas tout de suite. J’ai envie de le refaire, ajouta-t-elle en souriant. ...

... — J’aurais dit oui avec plaisir, mais j’ai oublié ma boîte de capotes et j’en avais qu’une dans mon portefeuille. — C’est pas si grave. Ce serait une occasion d’essayer sans, qu’est-ce que tu en penses ? La proposition, surprenante, était toutefois très intéressante. Pourtant, il me fut impossible d’accepter. — Je sais pas. J’ai jamais fait de dépistage, on sait pas ce que j’ai pu attraper. — Tu n’as baisé qu’avec ta copine et moi, non ? — Oui. — Et tu t’es toujours protégé ? — Oui. — Bon ben alors ? Y’a pas de raison que tu aies chopé une maladie ! termina-t-elle avec enthousiasme. J’ai énormément lu sur Internet les gens qui blâmaient le préservatif et qu’il était infiniment mieux de faire l’amour sans. C’était très certainement vrai, mais il m’était encore impossible d’être sûr à 100% de notre bonne santé à tous les deux. — Je suis désolé Aurore. Je déconne pas avec ça. — Sérieux ? Tu me fais pas confiance ? — Je te fais confiance. Plutôt je fais confiance à ta bonne foi. Est-ce que tu as déjà fait un dépistage ? — Euh, non… Enfin si, mais c’était y’a longtemps. — Il y a des maladies qui ne s’attrapent pas que par le sexe. Je préfère faire une vérification avant de jouer à ça ; la roulette russe c’est pas mon truc. — Ok, ok, si tu insistes… fit-elle avec une pointe de déception. Je me retirai enfin d’elle, nouai le préservatif en l’enlevant avec la serviette pour éviter de me salir les mains avant de les poser sur le volant. Le siège passager n’avait pas été maculé, mais ...