Quatre cousines
Datte: 30/11/2020,
Catégories:
fffh,
Inceste / Tabou
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
fdanus,
fsodo,
... elle était, en outre, très peu avenante lorsqu’on l’abordait. Comme je m’ennuyais particulièrement à cette soirée, et que le rock acrobatique n’a jamais été mon truc, pas plus que les vieux tubes nauséabonds d’Elvis Presley, je suis allé faire un tour tout seul, quelque part dans la nuit noire. Je me suis roulé un pétard en regardant la lune, histoire de tuer le temps : Nous sommes bien peu de choses sur terre ! Il était déjà deux heures, peut-être trois, et nous étions perdus dans un petit patelin, ils avaient loué la salle des fêtes… pour la soirée. Et moi j’étais coincé, sans voiture, tributaire de quelqu’un pour me ramener. Un pétard en entraînant un autre, je suis rentré la tête tourbillonnante à la casbah, d’autant plus que j’étais déjà loin d’être à jeun. J’avais presque envie de vomir. Je suis tombé sur Bernadette qui était toujours avec son inséparable copine et toujours aussi peu loquace. Par chance, la copine en question, elle, était un peu plus loquace. Et parlait, justement, d’un éventuel retour « at home ». Elle proposait même à Bernadette de la ramener. (Et moi. Et moi ? Et moi.). Elle connaissait, soi disant, un copain qui avait une tire et qui serait prêt à nous embarquer. Je sautai immédiatement sur l’occasion, j’en avais vraiment soupé de cette galère. C’est ainsi que je me suis retrouvé à l’arrière de cette fiat Panda, à côté de Bernadette. Nous foncions dans la nuit noire. Je soupçonnais quelque peu le conducteur de la bagnole d’être loin d’être à ...
... jeun mais, à cette époque là, on ne parlait pas encore de ces mesures drastiques et surtout James Dean était toujours notre idole : Vivre vite et mourir jeune, le reste n’est en somme que foutaises. Donc quatre jeunes torchés qui foncent sur une petite route déserte en plein milieu d’une grande forêt. Pas un bruit, nous n’avions rien à dire, ni les uns, ni les autres, ce long passage au cœur des ténèbres avait vraiment quelque chose de magique. Je ne sais trop comment, dans ce contexte, il m’est venu l’idée de mettre la main aux fesses de ma voisine. Peut-être est-ce le fait d’avoir remarqué que le conducteur passait beaucoup de temps à reluquer les cuisses de sa passagère, cuisses qui étaient, semble-t-il, outrageusement dénudées. Il devait être en train de se monter un plan sur la comète pour essayer de trouver une stratégie pour se l’emballer. Elle n’était pas farouche. D’un autre côté, il nous avait, nous, complètement oubliés. Il avait vraiment la tête ailleurs, d’ailleurs il s’était trompé de route plusieurs fois de suite. Profitant du fait que Bernadette venait de se pencher en avant pour essayer d’aider le conducteur dubitatif à résoudre un épineux problème directionnel (un croisement sans aucune indication), j’ai glissé une main derrière elle, et ce jusqu’à ses fesses. Ensuite, elle a eu la bonne idée de se rasseoir tout simplement sur ma main. J’aurais pu m’attendre à une baffe, un geste d’agacement ou une réflexion désagréable. Dans le meilleur des cas, hautement ...