1. Quatre cousines


    Datte: 30/11/2020, Catégories: fffh, Inceste / Tabou voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, fdanus, fsodo,

    ... improbable il est vrai, elle aurait pu, à l’inverse, se pencher vers moi et s’abandonner à un long baiser passionné (Mais il faut quand même pas trop rêver). Mais là, rien, aucune réaction, pas même un regard, elle continuait à scruter la nuit noire, comme si de rien n’était, en échangeant de temps en temps deux, trois mots avec le conducteur, toujours aussi paumé sur ces routes de campagne. Pas une seule réaction face à cette main qui lui collait désormais au cul, qui lui palpait même légèrement le fessier. Qui ne dit mot consent ? J’en profitai alors pour aller plus avant dans mes attouchements. Ce n’était pas véritablement facile, ma main était coincée et passablement engourdie. J’aurais pourtant aimé aller de l’avant, glisser vers sa chatte et m’enfoncer en elle. Je m’étais mis à bander très fort, en pensant à cette cousine qui se laissait tripoter sans rien dire. Mes doigts glissèrent finalement sous sa culotte, dans la raie de ses fesses, juste au niveau de son petit trou. Après tout, puisque sa chatte était inaccessible, il me restait ce petit trou que je pouvais désormais toucher du doigt et titiller. Quelle salope ! Elle se laissait toucher le cul. J’aurais voulu mouiller mon doigt et m’enfoncer en elle mais là c’était vraiment impossible, c’est donc à sec que ma dernière phalange a pénétré dans son derrière. Cela a duré comme cela encore des tonnes de kilomètres. Mon doigt bougeait toujours faiblement dans son cul. Elle ne disait toujours rien, ne me regardait ...
    ... toujours pas, feignant de m’ignorer. Nous avons fini par retrouver notre route. Logiquement, Bernadette était la première arrivée à destination. Sa copine est sortie, a repoussé le siège avant et Bernadette s’est extraite sans aucun mal de la voiture, se désemboîtant, par la même occasion, de mon doigt vicieux. Elle nous a dit « au revoir » de loin, sans trop me regarder, à ma grande déception. Quelques kilomètres plus loin, c’était mon tour de descendre. J’ai laissé les deux amoureux en tête-à-tête après un court « merci », heureux de rentrer enfin au bercail. Ce soir-là je me suis masturbé en reniflant mon doigt. Si l’on m’avait dit ça avant, que je doigterais un jour le cul d’une de mes cousines… * * * Quelques semaines plus tard, j’avais depuis longtemps oublié cet incident. Mais je reçois une lettre parfumée, odorante, mystérieuse, juste une petite carte et ces quelques mots : « Depuis l’autre jour, je ne pense plus qu’à cette nuit-là. J’ai très envie de te revoir. Lundi 18, je serai toute seule à la maison, alors si tu veux passer en début d’après-midi. J’attends ta venue avec impatience. J’aimerais beaucoup que l’on continue là où nous nous sommes arrêtés. Signé : Bernadette » Fichtre, si je m’attendais à ça. Je me suis branlé toute la matinée en reniflant sa lettre. Comme quoi les désirs des nanas sont impénétrables et ne cesseront jamais de me surprendre. Mais quelle salope ! Mais quelle salope ! Ainsi, ça lui avait plu de se faire doigter le cul et elle avait envie ...
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