1. Quatre cousines


    Datte: 30/11/2020, Catégories: fffh, Inceste / Tabou voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, fdanus, fsodo,

    ... d’aller plus loin. Quelle petite vicieuse ! Nous n’étions que le 2 : Plus de quinze jours à attendre. Plus de quinze jours à fantasmer sur elle, sur son cul. Dans mon souvenir, elle était certes boudinée, mais elle avait un très joli visage. D’ailleurs les quatre sœurs avaient un très joli visage, le visage de leur mère qui était, elle aussi, une très jolie femme. Si elle était plus ingrate que ses sœurs, c’est simplement parce qu’elle ne souriait jamais, un peu comme si elle était incapable de sourire. Combien de fois je me suis branlé en pensant à elle durant ces quinze jours, je ne saurais trop le dire. Bernadette devenait pour moi une véritable obsession. * * * Le 18 vers 13 heures, j’ai pris ma mobylette (j’avais le permis, mais toujours pas de tire), direction la grande propriété de mes cousines. 13h30, j’étais dans la grande cour, je sonnais à la porte. Mais là, stupeur, ce n’est pas Bernadette qui vient m’ouvrir mais Aline, la seconde et, derrière elle, je vois Aude, l’aînée, qui me fait également un coucou. — Bonjour cousin— Bonjour cousine— Bernadette va bientôt descendre, viens donc l’attendre au salon Mais c’est quoi ce traquenard ? J’avais rêvé plus d’intimité. Smac, smac, un bisou à Aline. Smac, smac, un bisou à Aude : — Bonjour Aude— Installe-toi cousin, tu veux boire quelque chose ? J’allais demander un jus de fruit, mais voici Marion, la petite dernière, qui sort comme une furie de la cuisine : — J’ai préparé un super-punch, spécialement pour toi cousin ...
    ... Putain, merde, c’est raté pour Bernadette, elle ne devait pas avoir prévu que ses trois sœurs seraient là ce jour là. Je suis on ne peut plus déçu. Dans ce salon grandiose, au milieu du mobilier Louis XVIII et des bibelots de bourge, je me sens comme un chien dans un jeu de quille. Je m’affale dans un fauteuil, entouré par ces trois cousines rieuses qui me taquinent. J’en ai presque oublié Bernadette, d’autant plus qu’au 3ème punch ça commence sérieusement à me monter à la tête. D’un autre côté, leur compagnie est plutôt agréable. Aude est une grande femme épanouie avec des formes sculpturales, à faire pâlir d’envie le plus coincé des dandys. Aline est une brunette à lunettes à l’allure très stricte. On a du mal à lui faire esquisser un sourire. Quant à Marion, elle papillonne, comme toujours, c’est une petite foldingue qui ne tient pas en place. Elles sont foncièrement différentes les unes des autres, aussi bien en ce qui concerne le caractère que physiquement, à croire qu’elles ne sont pas issues du même père. Seuls leurs visages angéliques leur donne vraiment un air de famille, quoique, à y bien regarder, la petite dernière a les traits beaucoup plus épais que ses deux sœurs. Nous discutons de tout, de rien, de pas grand chose en fait, et toujours aucune nouvelle de Bernadette. Je l’ai presque oubliée quand j’entends Aude dire : — Il paraît que tu as tripoté le cul de ma sœur. Heureusement que je n’avais plus rien dans la bouche sinon j’aurais tout recraché. Le rouge m’est ...
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