Quatre cousines - Histoires de Sexe

Quatre cousines

... monté aux oreilles tout d’un coup, je me suis senti au bord de l’explosion. — Elle est vierge du cul Bébel, alors il faut la ménager— En plus, comme ça, dans une voiture, c’est un peu lâche de ta part, non ? C’est Aline qui vient de parler. — Lâche et vicieux, renchérit Aude.— Notre cousin est un vilain petit cochon, clame Marion avec un large sourire. Saoul comme je suis, je suis incapable du moindre geste, d’autant plus que je suis entouré de toutes parts. Se tournant vers sa sœur, prenant un air catastrophé, Aline prend les choses en mains : — Tu te rends compte Aude, Bébel a dû subir les attouchements de ce salop pendant tout le voyage. Il lui a tripatouillé les fesses sans relâche et lui a enfoncé un doigt. La pauvre n’osait trop rien dire. Elle avait son petit cul violé par le doigt de ce vicelard et elle était morte de honte.— Quel salop !— Il mériterait qu’on lui fasse pareil. Je me suis senti blêmir devant mes 2 inquisitrices. Seule Marion, plus détachée, semblait rigoler en sous-cape. — Remarque, moi, dit Aline, s’il m’avait tripoté le cul, je n’aurais pas dit « non ». Sur ce, et contre toute attente, la voici qui se retourne et qui relevant sa jupe d’un coup dévoile un beau fessier que ne masque aucune culotte : — Elles te plaisent mes fesses ? Et, tournant sa tête vers moi, je la vois mouiller un de ses doigts, une expression lubrique dans le visage, avant de se le glisser prestement dans l’anus : — C’est ça que tu lui as fait à Bébel. J’adore me faire tripoter ...

... le cul. J’aurais bien aimé qu’un jeune cousin vicieux me le fouille. Et toi Aude ?— Moi c’est pareil, j’adore qu’on encule, avec des doigts, avec un gode ou avec une bite… Disant ces mots, la voici qui se retourne à son tour et me présente son fessier. Ecartant sans plus attendre son mini string, son doigt glisse prestement dans son petit trou. Et les deux sœurs de se doigter le cul quelques secondes devant mes yeux ébahis. — Spectacle terminé, rigole Aude en se ré-ajustant.— Spectacle terminé, renchérit Aline en faisant de même. Alors ? Ils te plaisent nos petits trous, cousin ?— Tu sais, ils aiment les longues sodomies bien profondes, mais ils ne sont pas pour ton vilain nez. Aude éclate de rire, je dois avoir vraiment l’air d’un niais !— Oui, Aude, mais nous on a l’habitude de nous faire enculer, pas les petites jeunettes. N’est-ce pas Marion ? Elles se retournent vers leur sœurette qui éclate de rire : — C’est vrai qu’on ne m’a pas souvent touchée par là… Seulement, une fois, deux fois, trois fois… Elle compte sur ses doigts avec un air particulièrement malicieux : — Dix fois… cent fois… mille fois. Moi aussi j’aime qu’on m’encule. Et sur ce, elle se tourne à son tour, baisse rapidement son jean. No culotte, fesses à l’air et penchée en avant, elle se doigte à son tour le troufignard, quelques secondes, d’interminables secondes, de quoi me faire pâlir. — Arrête, maintenant, lui dit Aline. Mais que tu es obscène ! Je crois que notre cousin a compris que nous sommes trois ...