Mister Hyde - 18
Datte: 02/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... peu dormi et la soirée d’hier m’a… troublée. Ce disant, elle frotta tendrement son visage contre le torse de Frédéric qui, bien que sa main fût apaisante s’interrogeait sur la conduite à suivre. Une fois de plus, Frédérique le mettait au pied du mur. L’attaque avait été frontale, le maître qu’il était pour elle ne pouvait laisser passer ça sans réagir. Il se raidit. Elle le sentit. Elle leva les yeux vers lui dans une question muette. D’une main, il masqua ce regard, de l’autre, il entraîna la fille contre le mur, entre deux fenêtres. Un mur de pierre, froid et rêche qui râpa la peau de sa joue tandis que le corps de son maître la pressait de toute part. elle sentit la main tirer sur sa jupe, elle sentit les doigts crocheter son sexe. Elle tenta de se cambrer, de s’ouvrir, Frédéric l’en empêcha. Il la voulait fermée, rigide ; il la voulait soumise. Du pouce, il la pénétra. Faisant fi de la ridicule ficelle de sa culotte. De la courbe entre pouce et index, il massa son clitoris avec rudesse profitant du renflement de l’articulation pour appuyer toujours plus fort. Sa brusquerie raviva la flamme de Frédérique. Elle tenta à nouveau de se cambrer, à nouveau il la plaqua au mur. Ce ne fut pas son pouce qui l’y cloua. Il s’enfonça en elle d’un seul mouvement de bassin, comme s’il voulait l’empaler. Puis il poussa, poussa encore, avec une telle rage qu’elle sentit, à travers son pull et son T-Shirt, l’âpreté de la pierre. Et soudain, il se détendit. Glissant un bras le long de son ...
... ventre, il la tira en arrière, empoignant ses cheveux, il la fit se cambrer. Alors commencèrent les interminables et sensuels va et vient qu’elle aimait. Il la limait avec l’infini douceur de l’ébéniste qui peaufine son œuvre tout en la tenant fermement pour qu’elle se plie à sa volonté. Elle se laissa aller, plongeant dans la jouissance en toute confiance. Jamais elle ne s’écraserait au sol, Frédéric serait son élastique, sa ceinture de sécurité. Il serait toujours là pour elle, elle en était persuadée. Frédéric continua, jusqu’à la limite de sa résistance. Il se retira prestement et fit glisser sa femme au sol. Elle ouvrit la bouche, sachant ce qu’il attendait d’elle. Il s’y enfonça avec la même force, le même désir insatiable de la perforer au plus profond qu’en pénétrant son sexe. Il la pilonna longuement sans qu’elle pût prendre le contrôle et le caresser savamment. Puis il abandonna la bouche pour la reprendre, à quatre pattes sur le parquet cette fois. Enfin, il explosa, lâchant sur les fesses et le dos de la belle, des jets de jouissance infinis. *** Bien entendu, Frédérique dormit mal. Son Maître ne l’ayant pas invitée à partager sa couche, elle s’était allongée au pied du lit, sur le parquet, sans même une couverture pour se tenir chaud. Mais ni la dureté du sol ni le froid n’était cause de son manque de sommeil. La vraie raison, la seule, c’était la jouissance de Frédéric. La vaille, il avait joui sur elle. « Sur elle ! » pas « En elle ». Depuis quelques mois, il ...