1. Noël et Léon


    Datte: 07/12/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail amour, volupté, photofilm, humour,

    ... de se remémorer l’émotion qu’il avait ressentie avec Clotilde, il était frustré de ne pas retrouver le ravissement éprouvé en caressant cette croupe dont la perfection tenait du miracle. D’autant qu’elle était très crédule, et, ne doutant pas un instant de la profession de Léon, "chef de casting", l’autorisait sans faire d’histoire à toutes les évaluations tactiles, allant jusqu’à subir la fessée sans trop protester ; il lui avait bien expliqué que certains tournages pouvaient nécessiter qu’elle montrât un postérieur rougi par la sévérité de l’institutrice – une histoire des siècles passés, bien sûr – mais, qui plus est, que les exigences de la technique obligent trop souvent à refaire les prises plusieurs fois… Il fallait absolument vérifier si ses fesses prenaient bien la couleur, et combien de temps elles la gardaient. Or il advint que ses recherches le conduisirent à rencontrer Séverine. Au premier coup d’œil, du fait qu’elle portait ce pantalon noir très mode, il vit qu’elle possédait un fessier rare. Les épaules étroites et la taille fine, ses hanches s’évasaient très progressivement, et à première vue il n’y avait pas la classique "culotte de cheval" qui s’observe en pareil cas. Il décide de s’intéresser sur-le-champ à cet objet d’étude mais à peine a-t-il le temps de commencer une phrase qu’il prend une beigne qui n’est pas d’étude, mais magistrale. On imagine que sa quête lui a valu de nombreuses avanies, et que son moral ne saurait s’écrouler pour si peu. Il appelle ...
    ... à lui son expérience, qui est vaste et, prenant l’air penaud : — Vous êtes bien sévère, Mademoiselle, pour quelqu’un qui voulait seulement vous rendre un service…— Et quel service, dites-moi ? Ses yeux sont flamboyants, elle ressemble à Katharine Hepburn dans "African Queen" et notre Léon en est troublé. C’est la première fois qu’il s’attire une réaction aussi vive, bien que n’ayant eu, cela va de soi, aucun geste déplacé. — Je peux vous dire un mot sans en prendre une autre ?— Pas la peine, je sais d’avance ce que vous allez dire ! Que j’ai un cul magnifique ! Et bien, mon cher, permettez-moi de vous dire que vous n’êtes pas le premier à l’avoir remarqué !— Mais je vous assure…— Je vous ai observé depuis que vous êtes monté dans ce bus, les rétroviseurs sont commodes pour cela, voyez-vous, alors n’ajoutez pas le mensonge à la concupiscence, taisez-vous, prenez ces deux cabas, nous descendons à la prochaine, dans deux minutes environ ! Et voilà comment prit fin la collection de Léon. Car Séverine, femme de tête – et pas seulement, nous l’allons voir tout à l’heure - avait décidé que ce serait lui. Dans l’escalier où elle le précède, il peut déjà observer que ses premières constatations sont fondées. Statique, son cul est admirable, mais dynamiquement parlant, il est étourdissant ; on pourrait parler de balancement harmonieux en phase avec la flexion de la taille, de frémissement de masses (à l’étude actuellement au CNRS), de démarche élégante, et toutes ces expressions, même ...
«12...5678»