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Ma vie sexuelle continue... Béa
Datte: 11/12/2020, Catégories: fh, ff, fbi, copains, Masturbation intermast, Oral
... dis-je. (Le «kot», du mot néerlandais signifiant «enclos» ou «débarras» est le mot utilisé par tous les étudiants de Belgique pour désigner leur chambre. Un peu l’équivalent du mot français «piaule»). A l’heure dite, je passai la chercher. Nous nous rendîmes au bar de la Faculté de médecine où nous passâmes une soirée démente à danser. À l’époque je dansais assez bien le «Rock» et je dois dire qu’elle me suivait sans problèmes quand je la faisais pirouetter dans tous les sens. J’étais aux anges et ma petite voix intérieure me disait: «C’est le moment, vas-y donc !». Mais je n’osais toujours pas. Je blaguais, je la faisais rire, boire, danser mais je ne me déclarais pas. A une heure du matin le disc-jockey annonça le «dernier slow» en précisant que cette fois, les filles devaient inviter les garçons. Je vis une lueur d’espoir chez tous les garçons quand Béa s’avança pour choisir son danseur. Mais elle n’hésita pas une seconde. Elle me décocha un sourire à damner un saint et vint m’inviter. Le slow se passa comme dans un rêve. Elle était nettement plus petite que moi, sa tête arrivant à peine à mon épaule. Mais vers le milieu du slow, sa chevelure blonde s’y posa et elle ferma les yeux. Je me penchai vers elle et ma joue vint se mettre contre la sienne. Je sentis qu’elle s’appuyait un peu plus fort contre moi et je fis ce dont je ne me serais jamais cru capable: je tournai légèrement la tête vers elle et lui fis un bisou sur la joue. Elle ne broncha pas. Nous continuâmes à ...
... danser et vers la fin du slow je me détachai d’elle et la regardai. Elle leva la tête, elle aussi et nos yeux se rencontrèrent. J’approchai mes lèvres des siennes et l’instant d’après, nous échangions notre premier baiser. Très chaste. Très superficiel. Mais délicieux ! Il se faisait tard et je la raccompagnai chez elle. À la porte elle me regarda et me dit: «Merci pour cette merveilleuse soirée.» Je lui répondis: «Merci aussi. Il ne tient qu’à toi de recommencer». Puis je m’enhardis et lui pris le visage à deux mains. Mes lèvres rencontrèrent une fois de plus les siennes, mais cette fois elle entrouvrit la bouche et bientôt nos langues s’enroulaient dans un vrai baiser passionné. Nous nous séparâmes à contrecoeur et je la laissai. Avant de refermer la porte elle me lança ingénument : «Et surtout, pas trop d’excès cette nuit, dans ton lit, en pensant à moi !» Cette parole me laissa perplexe. Et c’est très sagement et «chastement» que je dormis cette nuit-là. Les jours suivant confirmèrent, au grand dam des autres étudiants, que Béa était ma «petite amie officielle». Nous nous entendions vraiment très bien. J’appréciais sa beauté parfaite et sa gentillesse et elle adorait mon humour et mes histoires drôles. Un incident fit changer le cours de notre relation fort chaste. Un étudiant s’était vanté de s’être «tapé» Béa. La rumeur se répandit et Béa me jura, le soir, à la cafétéria, qu’il n’en était rien. «Je te demande simplement de me croire, me dit-elle. Rien de ce que ce salaud ...