1. Une Patronne sévère et douce


    Datte: 12/12/2020, Catégories: fh, fplusag, fagée, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, BDSM / Fétichisme pied, chaussures, Oral nopéné, sm, nostalgie,

    ... de plus de 50 ou 60 ans, par les premières rides qui donnent tant de charme à leur visage… Fasciné par le sexe offert à mes yeux, les sens affolés par ce que je venais de vivre, je comprenais une chose : moi qui détestais les patrons en tous genres, j’étais, en quelques instants, tombé amoureux de ma Patronne, elle m’avait rendu esclave de mes sens, de mon attirance pour elle. Je n’avais plus à me poser de questions, il fallait servir cette femme qui était devenue en quelques instant ma Maîtresse, dont j’étais dorénavant l’esclave… Je me remis donc à lui sucer le sexe, à laper comme un chien entre ses lèvres, en essayant d’enfoncer ma langue au plus profond de l’entrée de son vagin, en mouillant le plus possible l’intérieur pour compenser la faiblesse de sa mouille de femme ménopausée. Même si elle mouillait modérément, mon nez sentait l’odeur de plus en plus forte de son sexe de femme prête à se faire prendre. J’en avais d’ailleurs très envie, j’aurais aimé enfiler une capote sur ma verge devenue très raide, très dure, avec un gland plus gros et plus violacé qu’à l’habitude, et puis la pénétrer sans autre préparation, la bourrer à fond, jusqu’aux couilles, enfin décharger tout au fond d’elle, me vider jusqu’à en avoir mal, puis recommencer à la bourrer… Mais c’était des désirs de mâle, de dominant, des désirs enfouis dans mes chromosomes, et ce n’est pas ce qu’elle désirait aujourd’hui. Je devais lui obéir docilement, et j’avais envie non de profiter égoïstement d’elle, ...
    ... mais de la servir, d’être un objet entre ses mains. Je voulais qu’elle oublie son porc de mari, avec son haleine empuantie par l’alcool, ses plaisirs égoïstes, malsains. Je voulais lui montrer qu’un homme, et pas un homosexuel, pouvait l’aimer suffisamment pour oublier son propre désir de la prendre, pour se mettre au service de son plaisir, pour l’adorer comme une œuvre d’art, pour lui offrir sa soumission… Au bout de peu de temps je sentis monter en elle une seconde jouissance encore plus forte que la première. Elle serra ma tête entre ses cuisses et ses mains si fortement que je crus qu’elle allait m’étouffer. Elle se détendit enfin, attendit un moment, repoussa ma tête, puis me regarda tendrement, presque maternellement. — Tu m’as donné beaucoup de plaisir, mon petit chéri. Je t’embauche, il faudra me servir souvent comme cela. Tu sais je vieillis, et je veux dorénavant prendre du plaisir, ne plus penser qu’au travail. Si tu es très docile, je te mettrai dans mon lit pour me servir et pour m’aimer. Nous verrons cela. Maintenant laisse-moi travailler, j’ai encore des dossiers à traiter. Rentre chez toi, et reviens demain à 8 heures, je te donnerai mes ordres pour ton nouveau travail, car il faut aussi que tu me donnes satisfaction dans cet emploi. Je compte sur toi, je sais que tu seras docile, que tu chercheras à satisfaire ta Patronne, je peux même dire ta maîtresse, hein ! petit esclave chéri. Elle me tendit alors sa culotte : — Un petit cadeau pour toi, pour que tu penses ...
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