1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (6)


    Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... être bien foutue et si alléchante dans cette position de soumission. Je caressai sa croupe dont la peau avait la finesse d’un bourgeon et la souplesse du vent. Mes doigts semblaient danser sur ses dunes, je humais ses odeurs intimes. — Tu me fais faire de ces choses…Dit-elle pour se déculpabiliser. — Avoue que tu ne dis pas non. Ajoutai-je. — Avec toi je dis toujours oui. J’avais son cul face à moi, rien que de le voir et je tremblais intérieurement. Ma tante avait beau avoir 42 ans, elle avait été gâtée par la nature et la voir ainsi, soumise et docile me renvoyait au passé. Moi qui en avait tant rêvé, j’avoue que sur l’instant je flottais sur un nuage. J’en étais arrivé à me croire simple spectateur de mes propres gestes en me disant que je vivais un moment unique de ma vie. La réalité reprit le dessus et ma langue, habituée à s’introduite dans son intimité la délaissait pour se diriger vers son second orifice, le capricieux qu’il fallait amadouer. Elle fit connaissance en tournoyant puis en le léchant lentement. Cette fois, la dégustation de ma tante était dévolue à son joli derrière avec d’amples caresses sur son bas ventre. — Oh ouii…Murmura ma tante. — C’est bon, tu aimes te faire lécher le cul… — Oui, j’adore que ce soit toi…Dit-elle en forme de confidence impudique. Véronique ne disait rien, inquiète de la suite mais se laissait faire en relâchant ses muscles sous l’impulsion de mon doigt, puis du deuxième… Le terrain était fin prêt et pour le lui faire comprendre, ...
    ... j’appuyais sur sa croupe pour la faire se cambrer davantage. Mon sexe, veines sorties était au bord de l’implosion pour effleurer l’entrée de son époustouflant derrière. Véro se montrait craintive. — Patrick, tu y vas doucement, n’oublie pas que je ne l’ai jamais fait. Déclara-t-elle apeurée. — Oui, détends-toi… Dis-je sans forcer son entrée très rétive. — Fais doucement ! S’exclama-t-elle Au beau milieu de sa chambre, je comprenais le sens du mot béatitude en la pénétrant à une allure peu vivace, presque langoureuse. Je n’oubliais pas que c’était sa première fois, aussi je m’immobilisais en elle, le gland rentré en elle. J’attendais que ses muscles soient détendus pour alterner des petites entrées pour faire place à de vastes sorties. Mon travail de fond prenait forme une fois la moitié de mon membre enfoui entre ses deux belles fesses à la peau blanche. Les entrées-sorties se dissipèrent au fil du temps, mon sexe parcourant à un train de sénateur son étroit canal. Je caressais sans relâche toute sa croupe pour qu’elle se relâche davantage. — Ca va ma Véro ? — Oui pour l’instant. Répondit-elle tout bonnement. Nous étions dans l’étape normale et Véro n’aspirant à aucun désir, était dans l’anxiété de me recevoir à un endroit inhabituel. Mon sexe ardent commençait à apprivoiser cet orifice délicat, son canal perdant ce côté exigu par mes mouvements timides. Véronique ne disait toujours pas un mot et désormais ma verge vaillante, bien installée dans cette partie si intime se ...
«12...91011...»