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Séduction délicate de la soeur de ma mère (6)
Datte: 12/12/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... montra plus virulente. Le moment de grâce se fit jour à l’instant même où j’entamais ma première ruade. Véro émettait enfin un son. — Oh oui…Soupira-t-elle. — Détends-toi…tu aimes ? Lui demandai-je en imprimant une bonne cadence avec mes mains posées sur sa croupe. — C’est pas mal. Concéda-t-elle. Je n’étais pas déçu de ces derniers mots, Véro étant à l’orée d’un orgasme inconnu, je dirais même d’un tsunami orgasmique (!). Elle était loin de le savoir, puisqu’un intrus se mouvait dans un endroit inconnu de son corps. Je parlais précédemment de béatitude. Je baignais dans tous les sens du terme et voir ma tante, telle une belle pouliche se faire prendre ainsi m’interpellait. Sans qu’elle le sache, je dépassais tous les codes confondus. En apercevant mon sexe disparaître dans son cul féerique, non seulement j’entretenais des rapports incestueux, mais de plus j’entraînais ma propre tante dans cette pratique peu répandue qu’est la sodomie. Malgré mes ruades, je sentais Véro peu à son aise. Je pris la décision de la décoincer directement par la parole. — Tu aimes ma belle ? Dis-je en lui en imprimant un rythme soutenu entre ses fesses aux courbes parfaites. — Oui c’est mieux Patrick. — Lâche toi ma chérie ! Hurlai-je en sentant ma verge se déployer dans son canal devenu fleuve. — Ah oui…Ouii…S’exclama-t-elle. — Alors tu aimes ? — Oh oui…Défonce-moi Patrick ! Je te sens grossir… Dit-elle sans complexe. — Oh bordel que t’es belle ! Répondis-je en pilonnant son beau derrière. — Oh ...
... la vache…c’est fantastique ! S’écria-t-elle en allongeant ses avant-bras sur le lit. Je me croyais dans le film d’apocalypse now, la chevauchée fantastique de Wagner débutait (!). Voir ma femelle de tante dans cette position docile me faisait prendre conscience de mon degré d’influence sur elle. A chaque coup de reins dans ce corps apprivoisé, j’entendais dorénavant ses petits cris étouffés et je la savais au bord de la jouissance. A l’instar d’une fellation, je lui imposais un rythme brutal et soutenu et l’effet ne se fit pas attendre. Ses doigts pressèrent le drap ainsi qu’une une partie de l’oreiller et sa respiration s’accentua constamment. D’un coup je pétrissais ses fesses puis je la saisissais fermement par les hanches et l’arc en ciel pour Véronique apparut. — N’arrête plus Patrick…Dit-elle dans un souffle haletant. — Jouis ma belle…jouis…Rajoutai-je pour la décoincer de plus belle. — Oh oui…Oui ! Oui !….Hurla-t-elle dans un lent râle profond. — C’est bon ma belle Véro… — Ouiiiiii…laisse-moi jouir mon amour…Dit-elle se faisant silencieuse en savourant son émotion nouvelle. Son corps se raidit excepté son orifice trop dilaté par mon sexe agité. Elle respirait fortement et émettait encore de lents gémissements, le temps de lui laisser passer son tsunami. Je caressais la peau humide de son dos transpirant tout en continuant mes mouvements en elle. La notion de temps avait disparu et à mon tour en voyant sa chute de reins, sa croupe superbe et ses épaules gracieuses, mon ...