1. La vengeance est un plat qui se mange à plusieurs


    Datte: 14/12/2020, Catégories: fhh, extracon, inconnu, Collègues / Travail boitenuit, humilié(e), vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, init, journal, ecriv_f,

    ... interdit. La société nous reçoit comme des rois, nous sommes cinq couples clients et quatre représentants de la société. Trois hommes et une femme, tous les quatre sont jeunes (la trentaine) beaux, sûrs d’eux. On sent l’habitude de séduire dans leurs manières. Comme toute femme trompée, je scrute tous les gestes, les moindres attitudes de Gérard, je me demande à quoi il pense en voyant la jeune commerciale légèrement vêtue. Il fait très chaud et le soleil incite à se vêtir léger. Contrairement aux autres fois, j’opte résolument pour des tenues décontractées. Aux orties les tailleurs et robes habillées! Je me contente de robes lâches, tenues que je porte à la campagne ou en vacances. Cela ravit Gérard, mais il n’est pas le seul à me regarder et cela me fait du bien. Je me dis que ce n’est pas parce que je suis moche qu’il m’a trompée mais parce qu’il est malade. Le dernier soir, après le dîner, nous sommes invités à finir la soirée dans une petite discothèque jouxtant l’hôtel. Nous remontons dans les chambres nous changer, un couple a déclaré forfait, peu intéressé par l’ambiance discothèque. Je m’enferme dans la salle de bain et, après, une longue douche et un maquillage soigné, je laisse la place à Gérard. Pendant qu’il se douche, j’enfile des bas qui tiennent sur la cuisse, un string et la fameuse robe noire. Le miroir me renvoie une image qui me plaît, ma poitrine est mise en valeur et même si mes seins risquent de sortir, en cas de mouvement brusque, ils paraissent plus ...
    ... fermes et plus ronds, relevés par le tissu. Le bas me plaît moins car, même très discret, le string laisse paraître son élastique en relief. Derrière, le triangle se voit nettement et même devant il se laisse deviner. Je le retire pour enfiler une culotte assez grande que je mets sous certaines jupes ou sous mes pantalons clairs, et qui est invisible. Mais là encore, je distingue même la surpiqûre. Le string était plus discret. Je la retire et regarde l’effet sans rien. Impeccable, si ce n’est ma toison qui, sans être importante, se remarque au bas de mon ventre, comme de petites boursouflures. Je retire la robe et enfile le peignoir mis à notre disposition par l’hôtel et, sitôt la salle de bain libre, je m’y engouffre sans laisser le temps à Gérard de protester. Une fois enfermée, je prends le rasoir de Gérard, sa mousse à raser et, après avoir posé le gant de toilette mouillé d’eau chaude, j’enduis mon bas-ventre de mousse. Le rasoir est efficace, mes poils châtains disparaissent aisément. Il faut dire que ma toison n’est pas très fournie et mes poils sont souples. En quelques instants j’ai le sexe aussi nu qu’à ma naissance, tout y est passé, même les lèvres de mon sexe sont glabres. J’ai même rasé les quelques poils qui entouraient mon anus. Un peu de crème contre l’irritation de la peau, je frissonne. L’effet est très bizarre, j’ai la sensation que mon bas-ventre est hypersensible, mes doigts me font vibrer. Si j’avais le temps, je retrouverais les gestes des plaisirs ...
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