Johanne
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
Lesbienne
... du printemps, d’Igor Stravinsky. Pendant ce temps, mes mains profitent de ce délicieux moment pour se faufiler sous le chemisier de Marie-Andrée, à la recherche d’un autre rendez-vous, interrompu trop tôt cet après-midi. Elles glissent lentement le long de ce ventre vaste et plein d’énergie comme la mer. Puis elles poursuivent leur trajectoire vers le dos pour désagrafer son soutien-gorge. Enfin, elles reviennent vers l’avant pour saisir avec force les deux masses pleines, qui n’attendaient que ce geste. Mes pouces caressent avec volupté la surface rugueuse des aréoles, avant que mes autres doigts pincent les tétons, prêts à éclore. Excitée par ce geste, Marie-Andrée délaisse ma bouche pour me laper le visage et le couvrir de baisers. Nous enlevons chacune le chemisier ou le gilet de l’autre, de même que le soutien-gorge.Nos poitrines sont entièrement nues. La même lueur brille dans nos yeux. Marie-Andrée m’entraîne aussitôt sur le tapis. Parvenues au sol, elle se délecte à pleines dents de ma poitrine, qui est plus que généreuse elle aussi. Ce faisant, elle retire mon pantalon et ma culotte. Tout en l’aidant de mes jambes, je me déleste de mes sandales sans trop de peine. Je suis maintenant entièrement nue. Saisissant la tête de mon amante, je la remonte un peu pour humer le doux parfum de ses cheveux. Ils fleurent bon la crème d’avoine. Fourrageant dans cette forêt chaude, je la couvre de baisers. Mais, gravité oblige, la tête de Marie-Andrée redescend engloutir mes seins ...
... avec une voracité que je ne lui connaissais pas. Je me promets bien de lui rendre la pareille lorsque viendra mon tour. Continuant de caresser son abondante chevelure, j’enfonce sa tête entre mes seins pour lui faire un massage qu’elle n’oubliera pas de sitôt!Je sens que je commence à mouiller. Marie-Andrée a dû s’en apercevoir, car elle me masse le pubis avec de plus en plus de vigueur. Déjà ses doigts s’enfoncent dans ma chatte. Le barrage est sur le point de se rompre! Au bout de quelques minutes, les écluses s’ouvrent pour laisser s’écouler un flot de cyprine dont le tapis gardera longtemps l’empreinte. Je saisis la main de Marie-Andrée pour la porter à ma bouche. Je me pourlèche du précieux liquide, allant même jusqu’à m’en badigeonner le visage et la poitrine. Loin d’être égoïste toutefois, je plonge ma main dans mon puits intime pour en faire profiter ma compagne. Elle aussi se délecte avec avidité.Sans transition, Marie-Andrée s’étend doucement sous moi. À califourchon sur elle, j’embrasse son visage et son cou. Déjà, elle pousse de petits râles de plaisir. Je masse amoureusement la poitrine de cette déesse pour goûter chaque repli de son ventre jusqu’à lui sucer et mordiller le nombril. Ce geste la chatouille sans doute, car elle éclate de rire. Dès lors, je lui ôte ses bottes, sa robe et sa culotte en forme de string, qu’elle a mis spécialement pour l’occasion, laissant à découvert une petite touffe de duvet châtain. Mes doigts ont à peine le temps de caresser ce nid ...