Johanne
Datte: 15/12/2020,
Catégories:
Lesbienne
... onctueux que je sens les lèvres s’entrouvrir, tel un marron chaud sur le point d’éclater. Elle est entièrement nue. Je la contemple dans toute sa splendeur. Laissant folâtrer ma langue sur ses cuisses immenses et musclées, je remonte vers son pubis. Ça devait faire longtemps que Marie-Andrée attendait ce moment. Je peux déjà sentir la chaleur moite de son petit nid de duvet. Dès que je commence à le lécher, elle écarte davantage les cuisses en poussant des soupirs languissants. L’invitation est on ne peut plus pressante! J’écarte ses lèvres avec mes doigts. Ils sont déjà tout trempés de sa gelée royale. Sans plus tarder, je les plonge pour mieux en apprécier la saveur. Elle commence à se tortiller en me regardant d’un air presque suppliant. M’agrippant tantôt à ses fesses, tantôt à ses hanches, je laisse ma langue, puis toute ma bouche se délecter de son entrejambes. Dès que j’atteins son clitoris, je le mordille tout en le suçant avidement. Les yeux fermés, Marie-Andrée ne se contente plus de soupirer ou de râler. Elle crie et verse des larmes de joie comme une possédée en transe en une scansion de plus en plus rapide. Bientôt, je ne peux plus la regarder jouir, comme j’aime tellement le faire, non seulement avec elle, mais avec toutes les autres. Mon amante m’enfonce la tête entre ses cuisses, encore luisantes de ma salive et de sa sueur. C’est son premier orgasme! D’autres ne tardent pas à suivre. Épuisée, elle relâche son étreinte sur ma tête. Mon visage est entièrement ...
... imprégné de sa délicieuse cyprine. J’ai dégusté plus que mon quota. En nage, Marie-Andrée reprend progressivement son souffle normal.Profitant de cette brève accalmie, je m’empare du petit pot de confiture de pétales de roses que j’ai apporté pour l’occasion. Quiconque a goûté de ce mets raffiné en connaît l’arôme enivrant et la saveur délicate. À l’aide de mes doigts, je badigeonne tendrement les cuisses, le ventre, les seins, les joues, puis la bouche de cette réincarnation d’Aphrodite. Étendue près de ma compagne, je prends quelques chocolats dans ma broîte pour les déguster avec elle. L’une de nous le laisse un peu fondre dans sa bouche, puis le croque juste assez pour laisser s’écouler le sirop de cerise. Aussitôt, l’autre entre dans le jeu en l’embrassant passionnément, ce qui lui permet de déguster à son tour le précieux liquide, de même que l’enveloppe chocolatée qui l’entoure. Loin de me contenter de ces petites bouchées, je poursuis notre festin en me rassasiant de la gelée de roses dont j’ai enduite amoureusement le corps de Marie-Andrée. C’est à un véritable concert des sens que ma bouche et mes narines sont conviées. Longuement, amoureusement, je lape, suce, aspire le liquide, en même temps que le réceptacle de chair qui lui tient lieu de calice. Un million de bouches ne pourraient se rassasier de toute cette chair! Parvenue à la poitrine, je saisis ses immenses seins en les pétrissant en un mouvement doux, mais soutenu. Je suce bruyamment ses tétons, qui sont ...