Je me suis sacrifié pour elle
Datte: 24/12/2020,
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Partouze / Groupe
Gay
Ma femme et moi aimons les longues promenades dans les bois. C’est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer. Quand nous partons en vacances, nous veillons à pouvoir pratiquer cette activité. Ce jour-là, nous étions dans les Alpes en randonnée de moyenne montagne, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée là-haut. Nous étions en juin, hors saison et donc quasiment seuls. Après quatre heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C’était splendide. Nous étions ravis. Nous nous installâmes pour pique-niquer au bord de ce lac d’un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes imposaient leurs flancs dénudés. Quel bel endroit ! Nous avions terminé de déjeuner et, le soleil donnant à plein, nous avions fini par nous effeuiller un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, cachés par un énorme rocher qui nous surplombait de deux à trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d’excitation flottait dans l’air. Je la sentais réceptive et, en ce qui me concerne, j’étais déjà tout à fait excité par la situation. — On se baigne ?— Tu es fou, répondit-elle, l’eau doit être à dix degrés !— Il fait si bon dehors, ça donne envie. J’ai envie de toi. Je me sens… prêt à tout !— Je sais que tu es toujours prêt à tout, obsédé ! Je pourrais te demander n’importe quoi !— Exactement, demande-moi n’importe quoi ! Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et ...
... était sans doute en train d’imaginer le gage qu’elle allait m’infliger. — J’aimerais que tu fasses le tour du lac, tout nu. Le lac n’est pas si grand, pensai-je en l’observant.Et puis, on n’est pas sur les Champs-Elysées, ce doit être possible. — J’attends. Il faut me mériter. Je tombai le string, affichant une semi-érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative. — Mouais, pas mal. Je partis donc par la gauche pour accomplir le tour du lac, sous le regard amusé de mon épouse qui restait à se prélasser au soleil. Je marchais d’un bon pas. Je la vis se lever et, sans doute pour me narguer, elle enleva son short, puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur ! Soudain, j’aperçus quatre hommes au sommet d’une butte. Comme ils étaient dans son dos, elle ne pouvait les voir. J’allongeai la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac et vers ma femme qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine. J’avais encore une boucle de 200 mètres à terminer. Je lui fis signe. Elle passa une main entre ses cuisses, tenant de l’autre un sein pour le relever vers sa bouche. Les hommes l’avaient en point de mire et je fus tenté de me mettre à courir. Je réitérai mes signes, tout en entendant sa voix, atténuée par la distance :Viens vite me prendre, je t’attends ! Je suis toute mouillée. Cent mètres. Je trottinais en évitant les cailloux. — Viens vite me baiser, j’en peux plus ! Les hommes étaient maintenant sur le rocher et ...