Je me suis sacrifié pour elle
Datte: 24/12/2020,
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Partouze / Groupe
Gay
... géantes vers le corps de ma femme. Tétanisée, elle les laissait faire. — Écoutez, je veux bien vous branler, et puis vous partez ! Mon cri résonna dans la cuvette, mais surtout dans ma tête ! Ma femme me regardait, stupéfaite. — Une branlette ?— Ouais, faudrait au moins nous sucer.— Chéri, suce-les, qu’on en finisse ! En plus… tu en rêves. L’homme lâcha ma femme et elle s’écarta de lui. Ses seins pointaient. Peur ou excitation ? — C’est vrai ? Regarde nos grosses queues, elles sont bonnes à sucer, on a les couilles bien pleines et on va te remplir la bouche.— Oh ! oui, mon chéri, fais-le ! Elle s’approcha de moi. Son regard avait changé. Elle posa sa main sur la bosse de mon string. — Tu bandes. Allez, fais-le, sinon ils vont vouloir me baiser. Tu ne veux pas qu’ils me baisent devant toi ? Elle passa derrière moi et baissa mon string, faisant surgir ma bite tendue. Elle posa les mains sur mes épaules et appuya. — Allez, vas-y, tu nous sauves, murmura-t-elle à mon oreille. Je fléchis les jambes. — Ça m’excite, dit-elle doucement en s’agenouillant elle aussi. Fais-le pour moi, c’est l’occasion. Elle me tenait par les hanches. Son bas-ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses. Un homme s’approcha, sa bite, qui me parut énorme, se balançait devant son ventre. — Regarde cette bite, je n’en ai jamais vu une comme ça. Ça va être bon. L’homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse ...
... goutte translucide. — Allez, suce-moi, ma salope. Il posa sa main sur mes cheveux et m’attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s’étala dessus. — Vas-y, mon chéri, suce. Allez, suce ! Je fermai les yeux et ouvris la bouche. L’homme y glissa sa queue tandis que ma femme se relevait. — Je vais filmer, ça ne vous dérange pas ?— Tout ce que tu veux ma belle, on va te donner un beau spectacle !— Oh oui, s’il vous plaît, qu’il s’en souvienne ! Elle installa le caméscope sur un rocher et enclencha l’enregistrement. L’homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu’au fond. Il me baisait. — Chéri, un effort, lance-toi ! Je levai une main tremblante vers la hampe. — Oui, c’est bien, ajouta ma femme. Je caressai les couilles velues et arrachai un soupir à l’homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active. Un verrou venait de sauter. Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançai sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j’aimais, alors j’y allais. L’homme gémit, se cambra, m’ouvrit ses cuisses. — Ah, mon chéri, mais tu aimes ça !— Putain, oui, il aime ça ! La dernière qui m’a sucé comme ça, c’était une pute à Grenoble, et elle m’a coûté deux cents balles. Les trois autres m’entouraient, maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte. La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ...