Je me suis sacrifié pour elle
Datte: 24/12/2020,
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Partouze / Groupe
Gay
... ma victime. Les flashes prouvaient que ma femme immortalisait tout. — Quelle salope ! La feuille de rose ? J’adore ! Allez, lèche-moi le cul ! L’homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondis dessus langue en avant. Je lapai cet endroit avec passion. Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressai vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco-anale, j’avalai ce nouveau prétendant. — Ah ! mon chéri, tu m’excites ! Continue, donne-leur tout ce qu’ils veulent ! Lâche-toi ! Ce commentaire, même s’il me fit plaisir, était inutile car j’étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant. J’entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute. — Je crois que je vais lui faire le cul, dit le meneur.— Oh,oui ! Prenez-le ! Je veux l’entendre gémir ! Ma femme semblait dans un état d’excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternais avec l’œillet que j’avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur et faire haleter l’homme de plaisir. — Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre ! Je jetai un coup d’œil à ma moitié qui m’offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j’avalai une nouvelle queue. J’y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu’elle perçoive bien mon ...
... intention. — Laissez-moi le préparer, dit-elle alors. Je ne veux pas que vous l’abîmiez !— Vas-y chérie, prépare-le bien. Graisse-moi bien ce cul. Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant, du beurre qui restait de nos sandwiches. Elle me tartina la raie, puis glissa un doigt dans mon anus. — Oh ! oui, prends-moi ! soufflai-je en me tournant vers elle.— Oui, je sais que tu aimes. Ils vont bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t’ouvrir. Elle commença à m’enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s’ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour les tenir raides. — Bon, allez, je crois qu’il est prêt, dit alors le meneur.— Oui, allez-y.— Toi, je te baiserai bien aussi, dit-il en s’agenouillant derrière moi. Je sentis ses grosses mains m’attraper aux hanches. — Laissez-moi vous mettre dans son cul. Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet. — Mon chéri, tu sais qu’il est gros. Tu vas aimer. Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J’étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi. La bite me pénétra lentement. L’homme m’attirait à lui, les doigts cramponnés à mes hanches, et je me laissais aller. J’entendis la respiration haletante de ma femme. Un homme vint s’agenouiller devant ...