1. Je me suis sacrifié pour elle


    Datte: 24/12/2020, Catégories: hhh, hbi, campagne, hsoumis, fdomine, totalsexe, Partouze / Groupe Gay

    ... observaient ma femme. En me voyant courir vers elle, elle s’installa au sol, en appui sur les coudes et cuisses largement ouvertes. — Allez, prends-moi ! Je veux ta queue !— Bonjour, messieurs ! dis-je à l’adresse des quatre types patibulaires qui observaient ma moitié en pleine extase. Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher. — Quel dommage ! dit une grosse voix, nous sommes arrivés trop tôt. Je pris mon string et le passai. Ils disparurent et je les entendis rire tandis qu’ils faisaient le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d’allure un peu rustique. — Regardez comme ils sont mignons, les gars. Ils nous contemplaient, appuyés sur leur bâton de marche. — Ouais, c’est pas tous les jours qu’on voit ça.— Depuis deux mois que j’ai pas vu un autre cul que les vôtres, ça fait du bien !— Tu vois, le monsieur il s’apprêtait à en profiter, et puis à cause de nous y peut pas !— Oh ! moi j’m’en fous. Y peut y aller. L’un deux me jeta un regard soudain glacial. — Ça vous dit plus rien ? Elle en voulait y a pas deux minutes.— …— Et vous, ma petite dame, vous gueuliez pour avoir une queue ! C’est fini ?— Écoutez, laissez-nous, maintenant. C’est du harcèlement ! répondit-elle, fâchée.— Ouais, c’est vrai, on a bien envie de vous harceler un peu. L’homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle ...
    ... semblait apeurée. D’un geste précis de ce bâton, il arracha les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux. — On avait bien vu ! Hein, les gars ? Ils s’approchèrent d’elle. Je fis un pas pour m’interposer. — C’est bien, tu es courageux, tu la protèges. Mais tu es bien seul. Ma femme se leva et se colla contre moi. Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, exhibant un torse musculeux. — Les gars, dit-il, ce qui les gêne, c’est d’être à poil alors que nous sommes habillés. Alors, on ne va pas les gêner plus longtemps, c’est pas poli. Il lança sa chemise et se pencha pour ôter ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l’imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud. — On ne vous fera pas de mal, on a juste envie de baiser !— Faut nous comprendre. On n’a pas une vie facile, en montagne cinq mois par an, entre hommes.— On s’arrange bien entre nous, mais une femme, c’est pas pareil.— Vous n’avez qu’à vous branler, ça passera ! dit-elle, furieuse.— C’est ce qu’on fait, mais…— Alors vous n’avez qu’à baiser entre vous, mais foutez-nous la paix.— Ça aussi, on le fait. Mais une femme, un nouvel homme, ça tente ! Pas vous ? Le meneur attrapa ma femme par le bras et l’attira vers lui. Sa grosse main se plaqua immédiatement sur son sein. — Ah, putain, que c’est bon ! Ses camarades tendirent leurs mains ...