1. La chatte sauvage


    Datte: 28/06/2017, Catégories: fh, jeunes, gymnastiqu, école, train, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Oral pénétratio,

    ... avec les autres. À la moindre avance, ils se retrouvent sur le carreau, puis négligés comme des chiens.— Et alors, toi, tu étais trop timide pour l’approcher ou même la regarder ; pour elle, c’était comme si tu étais insensible à son charme.— Oui, et apparemment, ça la rendait malade. Elle s’est approchée avec effronterie, la tête haute. Je regardais ailleurs, fuyant désespérément un contact qui me terrifiait. À un moment donné, j’ai senti quelque chose frôler mon bras, puis un souffle tout près de mon oreille. J’avais une furieuse envie de la voir, la toucher, dévorer sa bouche comme une prune, mais je n’osais pas.— Bon sang ! Mais une fille comme ça, offerte sur un plateau, ça se refuse pas !— Je pouvais rien faire, j’te dis. J’étais pétrifié. Et là, elle continuait, c’était de pire en pire ! Sa main s’était glissée dans mon pantalon et commençait à me, euh, caresser. Je n’osais ni la repousser, ni l’encourager, alors je restais là à respirer comme un phoque. Elle a sorti mon sexe et s’est mise à le laper à petits coups. Elle a fait ça longtemps. Finalement, c’en était trop. Je l’ai regardée. Ses yeux malicieux étaient rivés sur moi, guettant la moindre de mes réactions. La voyant ainsi, soumise, à mes genoux, je sais pas ce qui m’a pris : je l’ai empoignée par les cheveux et l’ai forcée à me gober, et j’ai lâché « Vas-y, suce-moi, belle »…— « Belle »… ?— « Belle salope », ou quelque chose comme ça, avoue-t-il en s’empourprant. Je t’assure que j’avais jamais rien dit de ...
    ... semblable à une fille auparavant…— C’est normal, la situation s’y prêtait…— En tout cas, sur le coup, j’ai morflé. Elle s’est retirée en un éclair : c’est là qu’elle m’a méchamment griffé. Je m’estime tout de même heureux qu’elle ne m’ait pas mordu…— Ouille !— Ensuite, elle s’est éloignée d’un air indigné, en réajustant sa coiffure, puis elle a rassemblé ses affaires. Elle est partie sans même daigner me jeter un dernier regard.— Mon pauvre vieux…— Je m’en veux, tu peux pas savoir. Si je l’avais laissée faire… Là, tu vois, j’ai été forcé de me finir moi-même à la main ! Nous éclatons de rire. Sympa, ça, qu’il puisse rire lui-même de son expérience tragi-comique invraisemblable. Sans conséquences graves, il faut bien le dire. Je peux m’imaginer que ça a même dû être plutôt agréable, à un moment donné… Nous la regardons se lever et se diriger vers les vestiaires d’un pas léger et assuré. Tout ce qu’elle fait, elle le fait avec assurance et légèreté, on dirait. Quelle épatante créature ! oooOOOooo De retour chez moi, je m’affale dans mon canapé. Je fais défiler divers programmes télé devant mes yeux sans y prêter la moindre attention. Les images qui m’emplissent l’esprit sont celles de Virgina. Je l’imagine nue, aguicheuse, s’approchant, prête à bondir. Au moment où je vais céder à mon envie d’enfiler ma main dans mon caleçon, c’est mon chat qui me saute dessus, atterrissant sur mes genoux. Je le caresse machinalement. Il se met à ronronner et à se frotter contre moi. Je me consume ...
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