Ma colocataire (8)
Datte: 26/12/2020,
Catégories:
Lesbienne
... s’il vous plaît ? Clarisse réagit aussitôt : — De grâce, ne nous prive pas d’un spectacle que nous attendons depuis longtemps, moi parce que je ne l’ai vu que de loin, et Pierre-André qui s’est masturbé longuement quand je le lui ai raconté. Attends. Elle alla chercher, dissimulées dans un placard, les serviettes préparées à l’avance, et les disposa entre les deux canapés. Magalie m’interrogea du regard. Heureusement, cela ne prit que quelques secondes. Pierre-André se redressa, l’air intéressé. Clarisse se rassit, me fit un signe d’encouragement. J’ai ôté mes ballerines, me suis placée sur les serviettes, jambes écartées, face à eux. Magalie, de là où elle était assise, ne pouvait rien voir, mais nous étions les invitées, et c’est au couple, non à elle, que je devais adresser ma performance. Clarisse mit sa main dans celle de son mari ; tous deux avaient les yeux fixés sur mon ventre. J’ai relevé ma jupe. Au moment où j’allais leur montrer ce qu’ils espéraient, je fus envahie d’un sentiment d’exaltation extrême. J’étais suffisamment entraînée pour maîtriser ma miction, ne laisser échapper que quelques gouttes, juste assez pour que mon slip devienne translucide. Pierre-André et Clarisse avaient les yeux rivés à la tâche qui s’agrandissait. Notre hôtesse abandonna la main de son mari, la posa sur sa cuisse. Pierre-André pressait son sexe à travers sa robe de chambre. Magalie alla se poster debout, derrière eux. J’attendis que tout mouvement cesse, puis j’émis quelques gouttes ...
... qui traversèrent l’étoffe, coulèrent le long de mes cuisses. La respiration de mes trois spectateurs s’accélérait. Clarisse avait remonté sa robe, ce qui me permit de voir son sexe. Sa toison, peu fournie, formait un ticket de métro presque parfait. J’ai trouvé que c’était beau, que ça faisait très soigné. De plus en plus fascinée par cette femme, j’eus envie de la rendre folle d’excitation en allant encore plus loin. J’ai laissé s’écouler quelques secondes, puis j’ai écarté mon slip, me cambrant pour faire saillir mon pubis imberbe, Magalie y ayant veillé le matin même. La peau mouillée brillait, mettait en valeur mes petites lèvres. Je les ai entrouvertes en formant un V avec l’index et le majeur. Un minuscule filet sortit ensuite de mon méat. Face à moi, Clarisse se caressait ; Pierre-André, qui avait laissé tomber les pans de sa robe de chambre, gardait la main sur son sexe. Leurs visages avaient pris des couleurs. Le bronzage naturel de Clarisse tournait au rouge brique. Magalie avait les yeux braqués sur mon ventre. Je sentais l’urine couler le long de ma jambe, descendre sur mon pied. J’ai décidé alors de poursuivre ma démonstration. Pour ce que j’allais entreprendre, j’avais besoin de mes deux mains ; ôtant ma culotte, je l’ai lancée à Clarisse qui l’a attrapée au vol. Elle posa l’empiècement sur sa bouche, huma longuement l’odeur avant de passer la culotte à son mari. Celui-ci la respira à son tour, la mit dans la poche de sa robe de chambre. J’ouvris alors largement ...