Ma colocataire (8)
Datte: 26/12/2020,
Catégories:
Lesbienne
... mon sexe avec mes doigts, comme je l’avais fait dans ma chambre, devant la glace, sachant qu’ainsi, ils pouvaient voir même mon méat. Mes lèvres intimes peu développées n’étaient pas fripées ; on aurait dit celles d’une petite fille. L’impression en était encore accentuée par l’absence totale de poils. Le spectacle eut l’effet escompté. Pierre-André ne dissimulait plus son sexe qui avait atteint des proportions respectables. Son infirmité n’avait pas atteint les fonctions essentielles. Je me suis concentrée une dernière fois ; un jet dru jaillit de sa source pour venir se perdre sur les serviettes. En même temps, une pensée saugrenue me traversait l’esprit : jamais plus, je ne redouterai la visite médicale. Magalie vint alors s’agenouiller devant moi. Elle commença par me lécher la cuisse en remontant vers mon pubis glabre, puis elle introduisit sa langue à l’intérieur de ma chatte. Elle aspira mes lèvres, me lécha, se délectant du mélange d’urine et de sécrétions qu’elle recueillait sur sa langue. Clarisse, haletante, se caressait de plus en plus nerveusement. L’excitation que me procurait cette toilette intime en présence de nos hôtes fit que j’eus un orgasme intense. J’ai joui debout, en criant. Clarisse avait remonté sa robe jusqu’aux hanches. Elle se masturbait, les jambes grandes ouvertes, deux doigts enfoncés dans le vagin. De l’index de son autre main, elle se massait le clitoris avec fébrilité. Quand son regard de noyée croisa le mien, ses traits se figèrent ; elle ...
... jouit dans un spasme qui agita tout son corps. Se relevant, Magalie déboutonna mon chemisier, m’aida à l’enlever, puis à retirer ma jupe. Elle me fit pivoter, m’offrant ainsi en entier au regard de Pierre-André. C’était la première fois que je pouvais juger de l’effet que produisait mon corps ainsi dévoilé. Susciter le désir de l’autre est terriblement excitant. En l’occurrence, le sexe de Pierre-André était bandé à l’extrême. Je l’examinais avec attention, n’ayant vu que très peu d’organes mâles au cours de ma vie, et moins encore dans cet état. Je ne sais si j’étais vraiment excitée, mais j’étais curieuse, et l’effet que ma nudité produisait sur cet homme me procurait un certain émoi. Clarisse avait déjà retrouvé son allure de femme respectable. Elle s’approcha de moi, déposa un chaste baiser sur mes lèvres. — Merci, dit-elle simplement. Vous nous avez beaucoup donné... j’espère que, de notre côté, nous allons être à la hauteur. En silence, Pierre-André dévorait mon sexe des yeux, ce qui ne semblait pas gêner son épouse. Je ressentis à nouveau une douce chaleur dans mon ventre, et l’envie de l’exciter encore plus. J’ai donc ôté le slip de Magalie, le lui ai tendu. Il le prit dans sa main, sortit l’autre – le mien – de sa poche. Il les porta alternativement à son visage. Son sexe palpitait à un tel rythme que Clarisse les lui enleva. — Arrête, sinon tu vas jouir trop vite, et ces demoiselles seraient déçues. Il est temps de passer à la suite. Je reviens dans deux minutes. ...