1. Ma colocataire (8)


    Datte: 26/12/2020, Catégories: Lesbienne

    ... Nous nous sommes assises sur le canapé, face à Pierre-André. Ce dernier – le sexe toujours en érection – nous fit alors certaines confidences. Les conséquences de son accident avaient été multiples, y compris là, (il désigna le bas de son ventre). Il avait des difficultés pour se mettre en condition, dues sans doute aux médicaments antidouleur qu’il devait absorber. oyloppgr — Grâce à vous, poursuivit-il, ça n’a pas été le cas aujourd’hui. J’ignore ce que ma femme a dans la tête, mais ça risque d’être... inattendu. Depuis que nous nous connaissons, nous avons expérimenté ensemble beaucoup de choses. Elle est très inventive, comme vous avez déjà pu le constater. Clarisse réapparut, nue, avec à la main un paquet qu’elle tendit à Magalie. — Cadeau, dit-elle. Pendant que ma copine défaisait l’emballage, je contemplais cette femme dans sa totale nudité. La maturité accentuait son air de madone. Je la trouvais tellement désirable avec ses seins lourds mais fermes, son tour de taille généreux, mais sans excès, ses longues jambes aux cuisses fermes, aux mollets musclés. Elle suivait avec attention les gestes de Magalie, dans une attitude aussi naturelle que si elle était habillée. Magalie sortit de la boîte un objet entouré de sangles, que je ne sus tout d’abord identifier. Quand elle les démêla, je vis que c’était un godemiché muni d’une ceinture. — Je suppose, dit Clarisse en nous regardant, que vous n’avez encore jamais utilisé un tel ustensile ? Non, n’est-ce pas ? Alors, je ...
    ... vais vous en expliquer le maniement. Elle le prit, nous le montra. Je n’en avais jamais vu. En le comparant avec le sexe de Pierre-André, je vis qu’il était à peu près de même taille. — Vous remarquez, dit Clarisse, que l’objet est doté de deux pénis, un de chaque côté de la ceinture, et que le plus petit des deux se trouve à l’intérieur. D’abord, on peut s’en servir sans la ceinture, ce que je vous conseille afin de bien l’apprivoiser. Se penchant en avant, elle s’introduisit quelques centimètres du plus gros des deux pénis. Une grimace de contentement lui déforma les traits ; elle le retira presque aussitôt, nous le montra ; il était luisant de ses sécrétions. — Si votre vagin n’est pas assez lubrifié, mouillez le pénis avec de la salive. Elle le tendit à Pierre-André qui ouvrit la bouche, le lécha. Puis, elle se l’enfonça à nouveau dans l’orifice vaginal, le fit, cette fois, disparaître en entier. Nous étions subjuguées. Elle le fit aller et venir plusieurs fois en nous regardant tous avec jubilation. S’adressant à Magalie : — Viens m’aider. Elle retira le godemiché – il luisait à présent sur toute sa longueur –, le retourna. Le petit pénis pénétra encore plus facilement. — Attache-moi les sangles, dit-elle en tenant la ceinture d’une main. Se baissant, ma copine remonta la sangle qui pendait du godemiché entre les fesses de Clarisse, prit celle qui se trouvait du côté droit, lui fit faire le tour des hanches, la glissa dans le passant, l’attacha à la première. En quelques ...
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