1. Indigne mère


    Datte: 01/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... caresses. Ludovic attendit quelque temps à sortir de l'eau et nous rejoindre. J'eus idée qu'il bandait et attendis que cela se calma. Ayant déjà mangé je les laissais partir ensemble à la gargote.D'un œil avisé je vis qu'ils dépassèrent celle-ci. Sans doute allaient-ils rejoindre une de leurs voitures. D'un bond je décidais discrètement à les rejoindre pour les espionner. C'était devenu comme une habitude malsaine à mon égard. J'y ai je crois cultivé ce vice du voyeur dont j'ai eu depuis du mal à me départir. Tel un petit singe je fus bientôt masqué par une caravane qui surplombait quelque peu le 4x4 de Ludovic. Ma mère avait commencé à le pomper. Je la savais irrésistible dans cet exercice. Ludovic lévitait en une énième ciel.Peu à peu ils sortirent pour s'installer sur la banquette arrière pour être à leur aise. Je dus opérer un léger déplacement pour mieux voir. Il la besognait par-derrière. Peut-être l'enculait-il. Elle ne dédaignait pas la v******e dans son cul. Ils finirent par un classique missionnaire. Ce fut à cet moment que je croisais ses yeux grands ouverts. Assurément elle me fixait. Elle m'avait repéré. Aussi tournais-je la tête et déguerpissais. Qu'allait-elle penser et dire de mon minable espionnage ? J'en étais tout ...
    ... bouleversé en même temps que soulagé. Ne l'avais-je pas un peu souhaité ?Ils revinrent bardés de victuailles, un large sourire leur barrant le vissage. J’affectais de somnoler surtout pour ne pas affronter le regard de ma mère. Elle me parut indifférente. Je pouvais croire que je m'étais illusionné et qu’elle ne m'avait pas découvert. Je vis qu'ils mettaient quelqu'effort à se contenir devant moi. Ils ne s'en baignèrent pas moins. Je vis que Ludovic plus tard l'embrassait au milieu des vagues. J'y vis le signe que ma mère savait et qu'elle ne se privait plus devant moi. J'avais poussé à son crime de toute façon. Ainsi avais-je favorisé le vice d'une mère.Au retour des vacances j'eus une conversation avec elle un soir dans la cuisine. Elle me confirma qu’elle m’avait vu l'espionner là-bas. Elle était calme. Elle me demanda si je faisais cela depuis longtemps. Mon silence fut comme un aveu. Elle demanda de ne pas la juger. En d'autres termes elle n’avait cure que je l’espionnas. D'une certaine façon j'avais droit à jouir de ses ébats. J'étais un sournois, un vicieux. C'était couru. Elle ajouta avec quelque malice : « tu sais, j aimerais te rendre la pareille et te trouver une petite de ton âge. » Par la suite nous n’eûmes plus d'échanges sur le sujet. 
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