Les Parques 2/8
Datte: 03/01/2021,
Catégories:
ff,
couleurs,
asie,
Collègues / Travail
Oral
policier,
... avant d’attraper par les épaules sa délicieuse tortionnaire. Doucement… Donne-moi tes lèvres, offre-moi ta bouche. Avant d’obéir, Bérénice se débarrassa à son tour de son slip, releva leurs deux jupes et se serra contre Amélie, peau contre peau. Se hissant sur la pointe des pieds, elle offrit ses lèvres tout en plaquant son pubis contre celui de son amie. Les bouches se cherchèrent un instant, les lèvres se frôlèrent d’abord, les deux femmes se souriant tendrement entre deux baisers volés. Les bouches enfin se soudèrent, les langues indiscrètes se titillant, se défiant, se combattant, s’enroulant. Souffles mêlés, elles s’époumonaient, s’asphyxiaient avec délice. Prolongeant jusqu’au dernier souffle le délicieux combat, elles se goûtaient avec délectation, se dévoraient tendrement. Les frottements conjugués des sexes brûlants exaspéraient les perles roses, mélangeaient les liqueurs, entremêlaient les corolles déployées de leurs nymphettes bouillonnantes. À chaque instant, des ondes bienfaisantes les parcouraient en tous sens, des vagues de bonheur les submergeaient. Et puis, impatiente, abandonnant les lèvres gourmandes de sa maîtresse, Bérénice était tombée à genoux, avait faufilé sa tête sous les jupons d’Amélie pour partir à la découverte gourmande du feuilleté velouté. Délicieusement surprise, elle avait contemplé la double haie sombre des petites lèvres foisonnantes, forêt de corail luisant sur laquelle elle avait promené patiemment le bout de sa langue, explorant ...
... chacun des replis ciselés de la corolle. Ses mains, plaquées sur les rondeurs jumelles d’Amélie, détectaient chaque frisson, chaque frémissement, chacune des indicibles volutes de bonheur, toutes les vagues scélérates et leurs ressacs pétillants provoqués par les tours et détours malins de sa langue dans les replis intimes. Sa langue qui se faisait large et pleine pour laper l’abondante cyprine, englober les babines, fine et pointue pour écarter l’abondante sylve des nymphes et plonger au creux de la rivière enchantée qui s’effaçait pour que sa bouche impatiente aspire la mouille et le sexe tout entier. Quand le bout de son nez était venu, enfin, buter contre le bouton exaspéré, que sa langue avait enveloppé le lutin avide, elle avait senti Amélie se raidir, s’arcbouter, immobile, statufiée, souffle coupé, prête à basculer déjà, enfin, dans la houle ultime, dans l’explosion chatoyante de ses sens, dans l’envolée magnifique de son plaisir, alors Bérénice s’était déchaînée, suçant, mordillant, agaçant, martyrisant le clito durci. Elle avait attendu le feu d’artifice, la déflagration pyrotechnique, le paroxysme détonant. Cinq secondes, dix secondes. Bérénice, si désireuse d’offrir l’extase, avait alors plongé un pouce dans la grotte du minou, mais s’était trouvée saisie par la sécheresse soudaine des lieux. Si étonnée qu’elle avait émergé du jupon pour trouver le regard de sa compagne. Toute l’excitation qui l’avait portée jusque là s’était évanouie instantanément : Amélie avait la ...