1. Le maillot manquant


    Datte: 23/10/2017, Catégories: hh, fhh, vacances, hotel, Oral hsodo, confession,

    ... ma robe et mon corps va reprendre contact avec le soleil. Déjà je sens sa chaleur sur ma peau. Les bretelles de ma robe passent facilement, je n’ai plus qu’à tirer pour me retrouver en maillot de bain. C’est un « une pièce » ; je n’ai pas encore eu le temps d’en acheter un autre. C’est celui dont je me sers à la piscine, chaque semaine. Confortable, mais un peu austère, et pas plus tard que tout à l’heure je vais me faire plaisir avec le joli bikini que j’ai vu en vitrine. Je tire sur ma robe. Elle glisse difficilement. Merde ! Catastrophe ! Me voilà les seins à l’air. Comment est ce possible ? Cela veut dire que j’ai oublié le maillot. Pourtant je le vois encore sur le lit. Je me vois le prendre pour le mettre et… Merde, Damien m’a appelée. On a discuté. Il m’a donné des nouvelles de ma fille. Nous avons longuement parlé et… et je suis partie, sans maillot… Juste la robe. Rien dessous. Putain de conne que je suis ! Je comprends, maintenant. Le mec est venu se plaindre du spectacle que je lui offrais sans le savoir. Comme d’habitude je suis toujours en pantalon, je n’ai pas fait attention. Je devais avoir les jambes écartées et…« Oh, mon Dieu ! Les jambes écartées, le sexe bien à l’air… En plus, avec le soleil qui donnait en face… un projecteur n’aurait pas fait mieux. » Pourtant sur le chemin de l’hôtel, si je suis confuse de ce que j’ai fait sans le vouloir, je ne comprends pas vraiment la réaction de l’homme. Un hétéro se serait rincé l’œil et peut-être venu tester s’il ...
    ... avait une chance avec cette femme qui ne lui cachait rien. Mais un homo ! Pourquoi ? Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’ai la surprise de me retrouver en face du couple de gays. Celui qui m’a engueulée me regarde en chien de faïence, l’autre toujours souriant. Je décide d’aller m’expliquer, et surtout de m’excuser. Bons princes, ils rient de cette mésaventure. Je n’ose pas demander pourquoi ma nudité a entraîné cette réaction. Nous nous quittons réconciliés. Heureusement, un peu plus tard, je croise celui qui n’avait rien dit et j’ai le courage de le questionner : — Je m’excuse de vous poser cette question ; ne dites rien si c’est trop indiscret : pourquoi votre ami a-t-il réagi si fortement hier ? Si cela avait été un couple hétéro, j’aurais compris que la femme soit offusquée ; mais dans votre cas, une remarque aurait suffi.— Guillaume est très jaloux.— Jaloux ? Mais de quoi ? De qui ? Je ne comprends pas. L’homme hésite : — C’est-à-dire…— Non, non, oubliez ma question, je suis trop curieuse.— De vous.— Comment cela, de moi ?— Des femmes en général. Vous comprenez, je suis bi ; alors hier, la vision de votre intimité m’avait déclenché… enfin, vous voyez ce que je veux dire. Je suis réservée, mais j’aime bien appeler un chat un chat. — Vous voulez dire que vous bandiez ?— Chut, pas si fort. On pourrait vous entendre.— Et votre ami l’a remarqué. Oh, je comprends sa colère, maintenant. Nous nous quittons presque complices. C’est mon dernier jour. Demain, je reprends le ...
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