1. Lettres d'une femme mariée - 3


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme massage, entreseins, Oral fsodo, lettre, confession,

    ... état de soumission et de domination, comme étant sa tendre concubine. Du même coup, j’avais l’impression qu’à ses yeux je redevenais quelqu’un. J’avais de toute façon, quoiqu’il advienne, ma place auprès de lui ! Finalement, qu’il puisse séduire, jouir, ou faire jouir d’autres femmes, cela n’avait plus d’importance, si par mon inventivité et la nature singulière de mon amour, j’étais capable de lui offrir quelque chose de différent, qu’aucune autre ne pourrait lui donner. Il fallait pour cela que je ne faiblisse pas comme je venais de le faire. Je devais toujours lui montrer une disponibilité sans faille. Je devais non seulement être capable de répondre, mais aussi d’anticiper ses désirs les plus secrets. Je serais maintenant son esclave consentante, mais aussi plus que cela. Désormais, en prenant également l’initiative, j’aurais le plaisir de me sentir maîtresse en partie de ma destinée, même si celle-ci devait rester encore enveloppée de mystère ! C’est avec cette conscience et cette confiance retrouvée, que je l’ai fait basculer sur le tapis. J’ai libéré son sexe complètement en baissant son pantalon, pour lui offrir un écrin plus savoureux encore. Avec la détermination d’une cavalière qui veut apprivoiser un jeune étalon, j’ai entrepris de le chevaucher. Quand j’ai senti son membre s’engloutir dans mon sexe, j’ai vécu une intense excitation d’une nature singulière. Moi qui depuis le début éprouvais le plus grand plaisir à sentir qu’il me possédait, j’avais le bonheur, ...
    ... parce que je le dominais et qu’il était entièrement soumis, emprisonné entre mes cuisses, de jouir de ce nouveau pouvoir que je croyais finalement avoir sur lui. Après l’avoir savouré longuement, tout en maintenant ses mains au sol, afin de lui interdire de me prodiguer la moindre caresse, j’ai senti sa semence inonder mon vagin, comme un cadeau hors de prix qui était finalement ma juste récompense ! Un baiser sur tes lèvres de la part de la mère de tes enfants… Mardi 12 mai Mon chéri, Si, consciemment, je me disais accepter le désir évident de Michel à l’égard d’autres femmes. Si je prétendais avoir la capacité de vivre jusqu’au bout cette relation en surmontant ma propre jalousie, il fallait néanmoins que je sache ! Il fallait que je connaisse la vérité et, si celle-ci devait être cruelle, il fallait que j’éprouve à quel point j’étais prête à m’y confronter et à la dépasser ! En termes d’épreuve, pour ce qui est de mon orgueil de femme, je n’ai pas eu à attendre longtemps… Je me suis décidée à venir, une nouvelle fois, plus tôt que d’habitude à l’agence, et je suis même arrivée avant l’heure d’ouverture… J’ai donc ouvert pour la première fois la boutique. J’avais l’intention de profiter de ce moment de tranquillité pour une fois seule sur mon lieu de travail, pénétrer dans son bureau à la recherche d’indices qui auraient pu transformer mes soupçons de « tromperie » en certitude. Quand j’ai poussé la porte, je n’ai d’abord rien remarqué dans la pénombre et le silence étouffé de ...
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