1. Lettres d'une femme mariée - 3


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme massage, entreseins, Oral fsodo, lettre, confession,

    ... la pièce. Moi-même, je ne faisais aucun bruit, par peur que quelqu’un n’arrive bientôt et ne me découvre là, à fouiller dans les affaires de mon patron ! Et puis, presque par hasard, je l’ai vue ! Face à moi, moulée dans la jupe un peu stricte de son tailleur, j’ai vu son postérieur saillir sous le bureau. Il ne m’a pas fallu longtemps pour reconnaître aussi la silhouette de Michel affalé dans son fauteuil… Les lents mouvements du joli fessier de Muriel ne laissaient évidemment aucun doute sur la nature de ses activités… Elle avait, avec un soin méticuleux, posé ses fines sandales à ses côtés et je voyais le charmant et douloureux spectacle de ses petits pieds tendus, parés de bas de soie, qui témoignaient par leur crispation de la concentration extrême avec laquelle elle suçait son patron. Ils ne m’avaient pas entendue, et ils ne pouvaient pas m’entendre, tant j’avais pris de précautions à me faire discrète et surtout tant ils étaient absorbés par leurs ébats. La voix de Michel me fit ressentir ce pincement douloureux que j’espérais pouvoir définitivement chasser de moi : — Continue… oui, continue comme ça… J’aime tellement comme tu me suces ! … Tu es si douce ! … Sa tête était rejetée en arrière et pendant ce temps il caressait la blonde chevelure de sa jeune employée dont le chignon était défait. — Ce matin, j’ai envie que tu me boives ! Et que tu me lèches la bite et les couilles ! … S’il te plaît, nettoie-moi bien avec ta jolie petite langue ! J’étais déstabilisée par ...
    ... ce spectacle fascinant et cruel… et par le fait qu’il la tutoie, elle, ce qu’il n’avait jamais fait avec moi et qu’il ne faisait jamais avec elle à l’agence en ma présence. J’étais là, si près d’eux… au point de sentir cette étrange odeur mêlée de leurs parfums et de leurs chairs, mais rien ne pouvait leur laisser soupçonner une quelconque présence. Il prenait sa tignasse à pleines mains pour faire désormais coulisser plus vite ses jolies lèvres carmin sur sa verge. Et puis il se cambra sur son siège tout en poussant un râle de jouissance. J’étais en train de réaliser qu’il inondait sa jolie gorge de cette même semence onctueuse qui avait fait mes délices. Elle ne cessa pas pour autant de l’avoir en bouche, et j’entendis même distinctement un léger clapotis. Elle tétait sa bite pour le boire tout entier ! C’est le moment que je choisis pour me dérober discrètement. J’ôtai rapidement mes sandales à mon tour pour ne pas faire de bruit. Et c’est en me retournant doucement que j’entendis le son sec d’un objet qui se brise ! Je venais d’effleurer une statuette qui jonchait maintenant le sol. J’eus à peine le temps d’entendre le bruissement produit par les deux amants dérangés… que déjà j’avais refermé, sans précaution cette fois, la porte derrière moi ! Je ne pus pas rester un instant de plus. Il fallait que je respire l’air de la rue, que je me libère de cette vision, de cette atmosphère saturée de leur odeur, de leur jouissance. Je me suis mise à errer sans but, sans plus savoir ...
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