Lettres d'une femme mariée - 3
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
jalousie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
massage,
entreseins,
Oral
fsodo,
lettre,
confession,
... regard que je portais sur elle, ou l’effet de la surprise provoquée par mon introduction dans ce bureau, ou bien une conséquence de mon imagination ? Mais j’aurais juré avoir vu ses jolies petites joues rosir ! Lorsqu’elle s’est éloignée pour me laisser seule avec lui me confronter à des explications que je ne savais comment formuler… j’étais fascinée par tout ce qui se dégageait d’elle : ce parfum exquis et pur qui imprégnait la pièce, la grâce de sa démarche, le spectacle de la courbe de ses hanches ondulant d’une façon si plaisante… Et puis il y avait son petit cul ravissant et ferme, moulé avantageusement dans une jupe étroite, qui se balançait sans excès… Cette séduction qui paraît si naturelle chez certaines jeunes femmes qui n’ont guère à s’apprêter pour capter le regard des hommes, était avantageusement servie par le port de chaussures à talons qui soulignaient la cambrure de ses reins. Ce n’est que lorsqu’elle a franchi la porte que j’ai vu le détail qui curieusement brisa en moi cette délicate harmonie. La sangle de sa chaussure droite était défaite. Je fus étonnée par cette constatation, et plus encore par le fait qu’elle n’ait pas pris soin de la remettre… Il était impossible qu’elle ne ressente pas cette absence de lien sur sa jolie cheville ! Le reste de la journée s’est déroulé normalement et finalement assez sagement. Une fois que je me suis tirée de justifications un peu embarrassées mais finalement crédibles, Michel s’est « contenté » ce jour-là de m’écouter ...
... lui lire une nouvelle lettre, assise sur ses genoux, pendant qu’il tripotait mes seins sous mes vêtements sans même les dénuder ! Mais au moment où je t’écris, et malgré l’agitation du café qui me distrait encore, je me rends compte sans trop savoir pourquoi, que la vision de cette chaussure défaite continue d’occuper mes pensées… Je t’embrasse et je suis contente de bientôt te retrouver… Ta chérie qui t’aime… Lundi 11 mai Mon petit mari, Lorsque je suis venue te rejoindre en fin d’après-midi après cette dure semaine, car tu étais cette fois à la maison, j’avais sans doute du mal à dissimuler combien j’étais contrariée. J’ai accueilli ton attention et ta tendresse comme un moindre réconfort, et dans tes bras un peu plus tard, lorsque nous nous sommes couchés, je ne pensais plus à Michel seulement, mais à Michel et à Muriel, à Michel avec sa femme, et aussi, pour la première fois, à Michel pouvant être dans les bras d’autres femmes ! Il y avait quelque chose qui s’était brisé en moi et en même temps, je constatais combien ma passion restait intacte. Je l’aimais plus que tout, j’avais envie de lui et qu’il me fasse l’amour, mais je n’arrivais plus à croire qu’il puisse m’aimer exclusivement. Quand je me suis retrouvée nue contre toi et que tu as commencé à me caresser les fesses, j’ai pensé à ses larges mains à lui, cajolant les jolies fesses de Muriel. Lorsque tu m’as sucé la poitrine, j’ai revécu ces moments dans la boutique où je l’avais vu scruter les décolletés plongeants ...