1. L'entretien d'embauche


    Datte: 24/10/2017, Catégories: f, ff, fplusag, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, BDSM / Fétichisme ffontaine, Masturbation sm,

    ... horticultrices. Enfin, il y a Marc qui, épaulé de quatre vigiles, s’occupe de la sécurité du domaine. Officiellement, en tant que gouvernante générale, tout le monde dépend de mon autorité. Cependant, dans les faits, je n’ai plus que deux femmes de ménage (bientôt une troisième) à encadrer ainsi que le factotum et Amédée. Ce dernier est le chauffeur et garde du corps de Mademoiselle. Ceux déjà cités sont sous la responsabilité de leur supérieur et ça me va très bien comme ça. J’ai aussi en charge le personnel des autres domaines. Toutefois, ce sont des propriétés beaucoup plus petites que celle du Vésinet. Généralement, il a juste un couple pour entretenir la demeure et le jardin. J’ai failli oublier Chloé qui a le statut trompeur de demoiselle de compagnie. Elle est au service de notre patronne jour et nuit et effectue exclusivement les tâches ménagères de sa suite. Cette soubrette est sous sa responsabilité directe vu qu’elle l’a éduquée personnellement. Il reste à préciser que la blanchisserie est tenue par les gens de cuisine durant leur temps « libre ». Ils n’en manquent pas avec deux convives à nourrir (Mélanie et sa demoiselle de compagnie). Sandrine y pourvoit seule. Chloé vient non seulement chercher le repas de sa Maîtresse, mais aussi le sien à l’office. Bref, hormis la présence d’invités ou des parents de l’héritière, quatre employées se seraient retrouvées au chômage technique. Il y avait donc eu une discussion, il y a plusieurs années, entre les responsables. ...
    ... Soit, son personnel s’occupait de la blanchisserie, soit elle perdait trois sous-fifres et devait avoir recours à l’intérim lorsqu’elle en aurait besoin. Avec tous les problèmes causés par la deuxième solution, elle n’avait pas hésité une seconde à convertir son équipe en blanchisseuse. Trois coups à ma porte de bureau, pourtant ouverte, interrompent mes pensées. L’heureuse élue qui jouera le rôle de messagère est Sylvie. J’enferme le dossier d’Asami dans une grande enveloppe kraft et j’écris, au marqueur noir, le seul mot qui titillera la curiosité de ma maîtresse, quelle que soit son occupation. — Tu cognes à l’entrée de son salon et surtout, tu n’entres pas dans sa suite, sauf si elle te le demande. Tu lui remets le pli et tu disparais. Je te conseille fortement de ne pas rester à sa portée et de déguerpir dès que l’occasion se présente. Je n’allais pas la laisser sans recommandations dans sa périlleuse mission. N’étant pas stupide et connaissant mon différend actuel avec notre maîtresse, elle comprit très bien la dangerosité de sa tâche. Une quarantaine de minutes plus tard, mon téléphone sonne. Je décroche et avant que je puisse m’exprimer, une voix chantante aboie un ordre et raccroche : — Dans mon bureau, vous avez dix minutes. Heureusement que les voiturettes électriques que nous utilisons pour nous déplacer dans le domaine ont une vitesse de pointe de 40 km/h, car je ne dois pas traîner pour relier mon cabinet de travail au sien en si peu de temps. Je rentre dans la ...
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