L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... pièce de mon rendez-vous tout essoufflée d’avoir pressé le pas dans l’immense manoir. Je comprends alors la raison pour laquelle Chloé n’avait pas répondu à mes appels téléphoniques. Elle est suspendue à un mètre du sol et reçoit une fessée aupaddle. Personnellement, je n’aurais pas choisi cet ustensile au vu de la position horizontale de la suppliciée, mais l’héritière ne se mêlait pas de mes « jeux » et je n’intervenais pas dans les siens. Surtout en ce moment ! Après m’être repu de la vision du jeune corps nu se balançant légèrement sous les coups, mes yeux revinrent se poser sur ma maîtresse que nous appelons tous respectueusement, Mademoiselle. Sa grâce et sa beauté n’avaient d’égale que son intelligence. De plus, sa faculté à toujours deviner les pensées de son interlocuteur en faisait une redoutable femme d’affaires. D’ailleurs, elle avait déjà reçu plusieurs demandes en mariage de très bons partis appartenant à l’élite de la société française. Toutefois, la gent masculine ne l’avait jamais intéressée. Elle avait toujours été attirée par l’autre sexe et surtout par leur éducation. En effet, elle avait commencé très jeune à former certaines de ses camarades de classe. Cependant, encore novice, elle n’avait pas pu empêcher une convocation de l’ex-gouvernante des domaines, par son école. Mon prédécesseur avait si bien étouffé l’affaire que même les parents de Mélanie n’en ont jamais rien su. Une fois rentrées au manoir, elles étaient restées toutes les deux plusieurs ...
... heures à discuter dans sa chambre. Par la suite, il n’y eut plus jamais d’assignation, bien qu’elle ait certainement continué à exercer sa « passion ». Elle laissa en plan son « travail » et brandit le rapport du détective privé. — C’est la prochaine soubrette que vous comptez recruter ? Un seul mot sur l’enveloppe (Japonaise) et j’avais enfin toute son attention. — Avec votre permission, Mademoiselle, pouvons-nous aller en discuter au salon ? Pour toute réponse, elle sortit d’un grand sac noir de sport un casque antibruit et l’appliqua sur les oreilles de Chloé. Tout en m’invitant d’une main à prendre une chaise, elle s’assit derrière son imposant bureau en bois massif. Elle m’incita à continuer d’un hochement de tête. — Non, Mademoiselle, c’est la fille d’une éventuelle recrue.— Que voulez-vous que je fasse de la progéniture d’une femme de chambre ? Je lui parle alors d’Hélène. Que malgré son âge, elle a un certain potentiel, qu’elle-même ignore et que si nous la manipulions bien, la jouvencelle pourrait venir habiter au domaine. Toutefois, je m’empresse d’ajouter que je n’ai pas reçu Asami, car je ne sais pas si elle a le même « caractère » que sa maman. — Vous voulez dire, par un certain potentiel, que je devrais encore intervenir ? La connaissant bien, je prends sa réplique pour ce qu’elle est : une semi-plaisanterie. Car, telle une chasseuse qui a entraperçu une proie, elle sera assurément prête à pardonner à sa rabatteuse son erreur passée du moment que je « travaille » ...