L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... éventuelle autre proposition. Depuis ce matin, je m’arrête chaque fois que je passe devant le téléphone. J’ai peut-être la possibilité d’avoir un CDI ! Cependant, pour être fixée je dois appeler l’agence de recrutement et leur demander. Que dois-je faire ? De toute façon, ai-je vraiment le choix ? Car je suis obligée de rendre l’appartement dans moins d’un mois. Au bout de combien de temps la police sonnera-t-elle à la porte, si je l’occupe toujours ? La honte devant ma fille et les voisins si les forces de l’ordre débarquent. Je peux demander peut-être de l’argent à mes cousins/cousines, mais ils vont le dire au reste de la famille. Pourquoi me torturer comme ça ? De toute façon, je ne serai jamais retenue. Je n’ai pas les compétences pour être femme de ménage. Je finis par composer le numéro de téléphone de l’agence de recrutement. J’ai une grosse boule au ventre et mes mains tremblent légèrement. — Bonjour, c’est Hélène Miyazawa à l’appareil. J’ai passé un entretien avec Corinne le 26 juin dernier. Je souhaiterais savoir si j’ai obtenu le poste.— Bonjour, Madame. Veuillez patienter quelques instants… Madame Hélène Miyazawa, vous avez été retenue. Dois-je prévenir notre cliente de votre appel ? Ce n’est pas possible, j’ai été choisie ! Que dois-je faire ? Comment ferai-je avec Asami si je travaille là-bas ? De toute façon, ai-je vraiment encore le choix ? — Allo ! Madame, vous êtes toujours là ?— Oui, excusez-moi. Oui, s’il vous plaît, dites-lui que je suis très motivée.— ...
... Je vais donc l’en informer. Je vous remercie d’être passée par notre agence et je vous souhaite une bonne continuation pour la suite.— Merci et bonne journée. Je raccroche avant de grimper sur le clic-clac du salon qui me sert de lit. Tout en sautant sur les coussins, j’exulte en criant : — J’ai un CDI ! j’ai un CDI ! Essoufflée, je redescends du canapé. Finie la galère, finalement tout allait s’arranger. Je gagnerai suffisamment d’argent pour renflouer mon compte bancaire. Je serai logée, nourrie, blanchie… et je reverrai Corinne. Je l’imagine face à moi, ses cuisses contre son bureau et me toisant de sa hauteur. J’en ai un frisson dans le dos. Pourquoi, escomptai-je tant être en sa présence ? Il n’y a que le logement pour ma fille qui m’inquiète. Ma nouvelle patronne avait dit que je pourrais m’arranger avec l’héritière. J’espère que cette dernière fera preuve de complaisance. En tout cas, ça ne peut pas être pire que maintenant. J’ai envie de faire la fête. J’appelle Asami, mais elle ne répond pas. Mince, j’avais oublié qu’elle passait la journée chez une copine et qu’elle ne reviendrait que demain. De toute façon, si je sors de l’appartement je risque de rater son appel. Quand va-t-elle me contacter ? Anxieuse, jei vérifie deux fois le téléphone pour m’assurer qu’il est bien en état de fonctionner et raccroché. C’est vers 15 heures qu’il sonne. Je suis dans la cuisine en train de me servir une tasse de thé. Je me précipite le cœur battant la chamade. — Bonjour, Hélène à ...