L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... quelques centimètres au-dessus de mes genoux. Ce n’est pas autant que la sienne, mais c’est parfait. Je prends un chemisier noir, car elle a l’air de bien apprécier cette couleur. Pour les chaussures, j’ai dans ma garde-robe des escarpins sombres qui feront très bien l’affaire. Je monte d’un étage afin de me rendre à l’espace des sous-vêtements. Je m’arrête aux collants et regarde ceux légèrement fumés avant de me rappeler que c’était des bas qui recouvraient ses jambes. Je change de rayon et tombe dessus. Mais non, elle avait des jarretelles. Rien que d’y repenser, je revois le haut de sa cuisse. Je vais en mettre moi aussi. Ne trouvant pas mon bonheur, je me renseigne auprès d’une vendeuse. — Nous sommes malheureusement en rupture de stock, Madame. Ce n’est pas grave, je me dirige vers les caisses. J’irai faire un tour au magasin de lingerie fine, dix mètres plus loin. Je sors avec mes achats dans un grand sac. Direction la boutique de sous-vêtement. Je pousse la porte et une femme très élégante, la vingtaine, vient à ma rencontre. — Bonjour, Madame. Je peux vous conseiller ?— Oui, je recherche des bas pas trop chauds.— Désirez-vous des bas nylon à coutures ? Ne voulant pas passer pour une idiote devant cette jeunette, je fais semblant de comprendre sa question. — Euh… Oui, s’il vous plaît.— Vous connaissez votre taille ? Tout en la suivant dans le magasin, je la lui révèle dans un souffle. En effet, mon regard est subjugué par ses jambes habillées d’une matière ...
... cristalline. Cette dernière galbe ses « échasses » tout en reflétant la lumière et sans pour autant dissimuler sa peau. Toute gênée, je constate que mon intérêt ne s’arrête pas là, puisque je me demande maintenant si elle possède un porte-jarretelles sous sa robe-fourreau lui arrivant au trois quarts de ses cuisses. Lorsqu’elle se penche pour attraper le produit souhaité, le bas de son vêtement remonte pour laisser apparaître des jarretelles saumon. C’est en sentant mon visage rougir que j’étudie ce qu’elle me montre. Prenant mon courage à deux mains, j’ose lui poser ma prochaine question. — Vous avez des bas pour porte-jarretelles ?— Vous ne voulez pas des autofixants ?— Non, s’il vous plaît. Bien que j’aie honte de mon attitude, je la regarde de nouveau se pencher pour remettre la boîte à sa place. Elle n’eut pas l’air de s’apercevoir de mon manège, car après avoir changé de rayon elle me présente toujours très posément le même modèle. Cependant, ceux-ci sont dépourvus de bandes de caoutchouc adhérentes sur le haut. — Possédez-vous le porte-jarretelles pour l’attacher ? Vous voulez des jarretelles intégrées à une petite culotte, à un corset, à un serre-taille, à une guêpière, à un bustier, ou juste un porte-jarretelles ? Devant mon air dubitatif, révélant mon ignorance sur cette famille de dessous féminins, elle me lance un clin d’œil qui me fait rougir de plus belle. Patiente, elle me présente chaque pièce qu’elle vient de citer. En professionnelle, elle m’en explique leur utilité et ...