L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... prospection infructueuse, je prépare mon trajet pour aller de mon domicile au domaine. Sur le point d’éteindre l’ordinateur, je me ravise au dernier moment. Excitée comme une adolescente, je tourne ma tête à droite puis à gauche afin de vérifier que je suis bien seule avant de sourire de ma bêtise. Lentement, je tape sur le moteur de cherche Poople le prénom et le nom de la femme qui obsède mes pensées depuis maintenant quinze jours : Corinne Leportin ! Toutefois, je ne trouve aucune trace d’elle. Elle n’est ni sur les Pages mauves, ni dans les Copines d’avant et encore moins sur Facelivre. Déçue, je finis par tomber sur l’origine de son prénom que je lis attentivement. Curieuse, je regarde aussi la fonction d’une gouvernante. Je m’aperçois alors de l’étendue de ses responsabilités et j’éprouve un vif plaisir lorsque je constate que je serai certainement directement sous ses ordres. Exténuée par ma journée riche en émotions, je me couche. Toutefois, je n’arrive pas à m’endormir. Je n’arrête pas de penser à demain, aux vêtements que je me suis achetés, au regard de Corinne sur ma personne, à sa voix, à sa robe manifestement hors de prix, à son index sous mon menton. Je ne sais plus ce que je fais. Je retire ma chemise de nuit et la jette au sol. Tout en fermant mes yeux, je caresse doucement mes seins. Je me revois entrer dans ma classe. Ma maîtresse de CM2 est là, assise à son bureau en train d’annoter mon cahier de liaison. Sans me regarder, elle me montre du doigt le coin ...
... près du tableau noir. Une fois en place, j’écarte légèrement les jambes et mets mes mains sur ma tête. Ce n’est pas la jeune moi qui m’y trouve, mais celle âgée de 42 ans. Toutefois, je suis vêtue d’une petite jupe d’écolière qui m’arrive juste en bas des fesses et d’un chemisier cintré bien trop serré pour ma corpulence actuelle. Une sonnerie stridente retentit, annonçant la fin de la récréation. Tous mes anciens camarades rentrent dans la classe et se moquent de ma personne. Ils ont aussi la quarantaine. J’ai honte et de grosses larmes coulent sur mes joues. Je remonte la couette sur mon corps et bouge lentement le haut de mon buste afin de m’y frotter. Mes seins durcissent au contact du tissu. Une agréable onde se répand dans ma poitrine avant de gagner mon ventre. Je prends mes deux mamelons entre mes index et mes pouces. Je les fais rouler sous mes doigts et les pince. Je pousse mon premier soupir de bonheur. Je suis toujours au coin dans la classe. Grâce au bruit de ses talons claquant sur le carrelage, je peux suivre ses déplacements de son bureau au tableau noir. À chacun de ses passages, les effluves capiteux de son parfum titillent mon odorat. Deux de mes camarades se moquent de la longueur de ma jupe et font des commentaires sur ma petite culotte blanche. Ma main droite descend le long de mon corps, effleurant ma peau sur son passage. Je joue avec les poils de mon pubis en les entourant autour de mon index. Le tiraillement, localisé au début dans mon bas-ventre, se ...