L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... répand dans tout mon abdomen. Que c’est bon ! Répondant à l’appel de ma vulve, j’abandonne ma poitrine pour venir caresser mes grandes lèvres en les griffant légèrement. Lorsque je trouve mon clitoris, ma respiration s’accélère. Mon institutrice, équipée d’une règle en bois, frappe une de mes fesses à chaque aller-retour. Les adultes applaudissent dans la classe. Je rentre un doigt dans mon vagin et roule du bassin. Mon plaisir monte rapidement. Les extrémités de mes seins continuent de frotter le tissu. Ils sont durs et me font mal. Je persévère, car je sais d’expérience que cette « douleur » est le prélude d’une grande libération de bonheur. Ma jupe est relevée et ma maîtresse d’école fait glisser très lentement la règle en bois à l’intérieur du compas de mes cuisses. Une fois finie, elle tapote mon postérieur avec son ustensile. Je pleure de plus en plus. J’ai mal, mais en même temps j’éprouve du plaisir. J’enfonce un deuxième doigt dans ma fente et en plus du mouvement de mes hanches, je bouge mon poignet. Tout mon corps ondule au rythme de mes vagues d’euphories. Chaque fois que mes fesses touchent le drap, je pousse un râle de satisfaction. J’accélère les cercles de ma main sur mon clito. Je n’en peux plus, je cherche à me libérer de ma douce douleur. Je n’ai pas envie qu’elle cesse de me maltraiter. Elle doit continuer ! J’ai placé chacune de mes paumes sur les deux pans de murs afin de cambrer mon dos et tendre mon postérieur en arrière. Je pousse un petit cri à ...
... chaque coup, de souffrance et de bien-être. Du fait de ma position, mes camarades doivent pouvoir voir mes grandes lèvres se dessiner sur le fin tissu de ma petite culotte. Je ne me contrôle plus. Je sens la vague monter, elle est là, au sommet. J’ai mal à mon index et à mon majeur, à force de frotter mon clitoris. Je prends à peine conscience du surplus de cyprine qui dégouline de ma vulve. Mon corps est pris de soubresauts, je convulse du bassin tout en exultant. Mon institutrice a arrêté de malmener mes fesses. Mes jambes ne me portant plus, je gis à genoux dans le liquide que ma petite culotte n’a pas pu retenir. Mes camarades ne moquent de moi. Tout en sanglotant, je me retourne pour voir que Corinne a remplacé ma maîtresse de CM2. Elle est seulement vêtue de la parure de lingerie que j’ai achetée aujourd’hui. Elle me console dans un souffle tout en m’enlaçant : — Sèche tes larmes, Hélène. Je vais prendre soin de toi dorénavant. J’ouvre les yeux. Je suis allongée sur le dos dans mon lit. J’ai toujours deux doigts au fond de moi. Mon corps est couvert de sueur et mon postérieur baigne dans l’excédent de mon liquide vaginal. Je ressens encore de légers soubresauts dus à ma jouissance. Je place mes mains sur mon ventre et ils bougent au rythme de ma respiration qui se calme lentement. Après un bref nettoyage au gant dans la salle de bain, je me recouche. Je n’ai pas remis ma chemise de nuit et je positionne mon pubis contre la tache de cyprine. Je me sens bien, reposée, ...