L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... détendue. Ça fait longtemps que je ne m’étais pas touchée comme ça. Je n’ai même pas honte et m’endors en pensant à demain, à ma future patronne et à ses bras. ******************** Je prends ma correspondance à Châtelet-Les halles. Au Vésinet, je perds quelques minutes à chercher le bon arrêt de bus. Ne possédant pas de voiture, j’utilise les transports en commun afin de me rapprocher le plus possible de la propriété. Une fois descendue du véhicule, j’ai dû marcher une bonne vingtaine de minutes. J’avais mal évalué mon temps de parcours hier soir. Il ne m’avait pas semblé que la demeure soit aussi excentrée du centre-ville. Toutefois, ce matin je me sens guillerette. Pleine de confiance dans mes nouveaux vêtements, j’avance d’une démarche féminine. Je n’ai pas arrêté de songer à mon interlocutrice durant mon trajet. Après avoir longé une clôture interminable, j’arrive enfin à destination. Je suis essoufflée et j’ai mal au pied. Malgré mes dix minutes de retard, je patiente quelques secondes devant l’entrée. Mon regard est attiré par le grand portail massif mesurant dans sa longueur au moins quatre mètres. Il est entouré de hauts murs avec trois rangées de fils barbelés en son sommet. Deux plaques en cuivre rectangulaires sont encastrées dans le pilier de gauche. Sur la première, il y a l’inscription suivante : « Domaine Largue ». Sur la deuxième qui se trouve en dessous, je peux lire : « Attention aux chiens – Propriété privée sous surveillance vidéo et avec vigiles ». Je ...
... remarque que dans chacune des colonnes un objectif de caméra effleure le revêtement. De plus, en hauteur et bien visible, une autre caméra de surveillance surplombe l’espace devant l’entrée. De chaque côté de la porte, deux imposants lions en pierre semblent monter la garde. Pas rassurée du tout, j’appuie sur le bouton de l’interphone. Quelques instants après avoir retiré mon doigt, j’entends une voix masculine sortir d’un haut-parleur dissimulé : — Bonjour, Madame. En quoi puis-je vous être utile ? Tout en parlant devant ce que je pense être un microphone, je m’annonce : — Bonjour, je suis Hélène Miyazawa. J’ai rendez-vous à neuf heures avec Madame Leportin.— Je vous remercie de présenter votre carte d’identité face à une des caméras. Je m’exécute et moins de trente secondes plus tard, une porte dans le portail s’ouvre. Un homme rasé de près, la trentaine, habillé d’un fin costume beige en lin de bonne qualité, d’une chemisette bleu ciel, d’une cravate et de chaussures de ville en cuir marron, maintient l’accès dégagé en attendant que je m’avance. Lorsque je suis à sa hauteur, il la relâche. Elle se referme avec force dans un bruit métallique qui me fait sursauter. Après avoir marché sur une dizaine de mètres. Il me fait signe de pénétrer dans une « guérite » en pierre de meulière avec des barreaux aux fenêtres. Un autre homme est assis derrière un comptoir, habillé exactement de la même façon que son confrère. — Allo, Corinne… Madame Hélène Miyazawa se trouve dans le poste de ...