L'entretien d'embauche
Datte: 24/10/2017,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
Masturbation
sm,
... bien se dérouler vu l’enjeu. ******************** Mon appréhension, déjà au plus haut après ma petite aventure, est montée d’un cran suite à la tirade de Corinne. Cependant, je n’ai pas le temps d’y penser davantage, car la porte s’ouvre sur une jeune femme blonde âgée tout au plus d’une vingtaine d’années. Elle nous accueille avec un grand sourire. Sa jeunesse et sa gaîté sincères renforcent l’austérité de la robe qui recouvre son corps. C’est une sorte d’uniforme noir et blanc de domestique qui s’apparente à ceux de certains vieux films. Elle s’efface pour nous laisser pénétrer dans un grand salon meublé avec goût. — Mademoiselle est dans son bureau, Chloé ?— Oui, Mademoiselle est au téléphone, Corinne. Cependant, elle m’a demandé de vous y introduire dès votre arrivée. Après avoir frappé trois coups, ma nouvelle responsable m’invite à pénétrer la première dans un cabinet professionnel, avant de me suivre. Une femme d’une très grande beauté est assise derrière un bureau de ministre, un casque-micro sur la tête et les yeux dans le vague. Elle parle en anglais à un interlocuteur que je n’entends pas. S’apercevant de notre présence, elle nous fait signe de fermer la porte, d’avancer et de patienter. Je prends le temps d’examiner, d’un coup d’œil circulaire, ce nouveau lieu. C’est une immense pièce rectangulaire plus spacieuse que la précédente. Elle respire le luxe, mais est fonctionnelle… Je sursaute de surprise, car Corinne vient de saisir mon avant-bras gauche d’une ...
... poigne ferme tout en appliquant son autre main sur mon postérieur. Bien que choquée, je n’ose rien dire. Elle m’entraîne avec elle vers l’extrémité droite de la salle. Ses doigts posés sur mes fesses indiquent, par de légères pressions, la direction à prendre. C’est donc sous son contrôle que j’évite deux canapés se faisant face, séparés par une table basse. Une fois à l’arrêt, elle vient se placer derrière moi pour me chuchoter à l’oreille : — Tu as déjà vu une aussi belle et imposante cheminée capucine ? À quelques pas et malgré mon trouble, j’examine cette œuvre d’art dans son ensemble. Elle est en effet magnifique. Son foyer doit bien faire un mètre de large et son manteau de marbre est incrusté en relief d’animaux sauvages… Tout à coup, je sens un bras, venant de derrière, encercler fermement mon ventre et plaquer mon dos contre un corps chaud. J’essaye de me retourner en vain. Cependant, j’arrête de me débattre lorsque j’entends la douce voix de ma nouvelle patronne. — Ne t’inquiète pas. Ce n’est que moi. N’oublie pas la promesse que tu m’as faite, celle de m’obéir. Je ressens au travers de mon chemisier la chaleur de son enveloppe charnelle. Inconsciemment, je cherche à me blottir en son sein. — Doucement, Hélène, tu vas me faire tomber en arrière. Il ne faut pas déranger Mademoiselle. La jeune femme que j’entends est toujours au téléphone. Toutefois, si elle tourne la tête elle va nous voir. À cette pensée et après une profonde expiration, mon propre corps frissonne de ...