1. L'entretien d'embauche


    Datte: 24/10/2017, Catégories: f, ff, fplusag, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, soubrette, noculotte, BDSM / Fétichisme ffontaine, Masturbation sm,

    ... plaisir. — Voilà, c’est bien. Laisse-toi aller. Bien que mes pieds touchent encore le sol, je suis légèrement penchée en arrière. Si elle s’écarte brusquement, je tombe. Ses deux mains viennent de nouveau défaire les boutons de mon chemisier. Elle a commencé par le haut, déjà deux puis trois… Mes bras jaillissent d’eux-mêmes pour l’empêcher de continuer. — De quoi as-tu peur, Hélène ? Je sais que tu en as envie. Ne te tracasse pas, Mademoiselle est occupée. Elle en a encore pour un certain temps et est concentrée sur sa communication téléphonique. De toute façon, même si l’envie lui prenait de regarder dans notre direction, elle ne verrait que ma silhouette. Comme promis… je te protège. En me parlant, elle a plaqué la paume de ses mains sur la peau de mon cou avant descendre plus bas. Ses doigts caressent maintenant doucement la partie haute de mes seins. Son chuchotement me rassure et vient faire taire la petite voix au fond de moi, disant que c’est mal, qu’il ne faut pas la laisser faire. Je range mes bras le long de mon corps. Vainqueur, elle continue à opérer, quatre, cinq et enfin six. Elle écarte les pans de mon chemisier et fait courir ses mains sur mon ventre, mon nombril, ma poitrine. Je suis aux anges. — Ta peau est douce. Ta taille est à croquer et j’aimerais bien posséder le galbe de tes seins. Elle apprécie mon corps, alors que je le déteste, me trouvant trop grosse. Je suis sur un petit nuage. Je rentre mon ventre et bombe ma poitrine, mais ses mains sont ...
    ... déjà… sur ma jupe ! Je les sens tâtonner, à la recherche de l’attache sur le côté. Une fois les deux boutons défaits, elle descend la fermeture éclair. Il faut que je l’arrête. Pas mon deuxième vêtement ! N’ayant plus de petite culotte, je vais me retrouver en porte-jarretelles et en bas. De plus, celui-ci à terre, je ne pourrai pas le renfiler rapidement lorsque la communication téléphonique sera finie. Mon chemisier ouvert, je ne pourrai pas le fermer promptement. Cette situation m’inquiète, mais en même temps elle m’excite. J’ai envie qu’elle continue. Ma jupe est complètement desserrée, mais elle reste sur mes hanches maintenue par la pression de mon corps contre le sien. — Redresse-toi sur tes pieds, pendant que j’enlève tes deux vêtements. Ai-je bien entendu ? Elle veut me dévêtir, mettre loin de moi mes habits. Que va dire la jeune femme ? Elle va forcément s’en apercevoir. Je n’ai pas le temps de m’en soucier davantage, car je ressens deux vives douleurs au niveau de mes seins. C’est Corinne qui étire violemment mes mamelons en avant. De lui même, mon corps suit le mouvement afin qu’elle cesse de malmener mon buste. N’étant plus soutenue par l’arrière, je replace mes pieds pour ne pas tomber. Avant que je m’en aperçoive, ma jupe a chuté sur le sol et elle vient de m’enlever mon chemisier que je vois voler vers un canapé. Lorsque le corps chaud de la gouvernante revient se coller au mien, je cherche malgré moi à frotter mon dos contre sa poitrine. Elle me mordille une ...
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