1. Souillure et plaisir (2)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... moins musclé que le précédent, bien plus vieux, légèrement en surpoids, mais plus beau de visage (légèrement cela dit, c’etait juste que les poils blancs dans ses cheveux excitaient la belle). Christine n’avait pas eu son orgasme, et puis elle n’était plus à cela près (la coquine) : elle ferma la cabine et grimaçant à ce nouvel amant : — Vous avez plutôt intérêt à supprimer les photos. — Tout ce que tu veux. Elle se retourna : Christine ne voulait pas le voir ; elle ne voulait pas qu’elle puisse la voir gémir, cela aurait été comme une sorte de complicité, et elle ne le supportait pas. Elle attrapa le sexe de l’étranger, et le fourra bien au chaud entre ses cuisses. D’abord le gland, puis la hampe : une fois complètement assise, elle eut un léger soupir de plaisir. Il n’allait pas durer, il fallait vite atteindre l’orgasme : elle commença les allers-retours en posant ses mains de part et d’autre de la cabine. La position était plus acrobatique, mais aussi plus plaisante qu’avec le précédent. Contre sa volonté, elle sentit le plaisir grimper en elle, et en perdit la raison. Elle avait vue sur les testicules de son amant, juste en dessous de sa foufoune, et sentait ses fesses et son petit trou claquer contre gros ventre du monsieur derrière, qui gardait les bras ballants. En effet, la belle quadragénaire ne se contrôlait plus : elle passa une main sur la semence de son amant précédent, toujours collée sur son visage, pour la gouter. Elle trouva le goût détestable, mais ...
    ... persévéra lorsqu’elle se rendit compte que cela alimentait son plaisir, tout cela alors que l’autre lui pilonnait toujours l’arrière train. Elle se rappela à son existence lorsqu’elle l’entendit : — Je… Je vais pas tarder… Ah ! Putain t’es une vraie salope… En plus t’es super, Ah ! Serrée… Non ! Il n’en était pas question, pas maintenant ! La belle avait tout fait pour pouvoir atteindre l’orgasme : si elle se faisait mettre pour la deuxième fois dans la cabine d’à côté, avec le risque de se faire surprendre (et peut-être prendre encore) à tout moment, c’était juste pour venir une bonne fois pour toute, évacuer le stress et ses fantasmes mis de côté depuis une semaine en tirant profit de ce qu’elle avait de plus en plus de mal à considérer comme un viol. C’était par peur, et aussi pour cela qu’elle avait tout accepté ! Dans un élan de panique, elle attrapa les deux mains de son amant et les plaqua sur sa poitrine : et le monsieur ne se fit pas prier pour tripoter allègrement les deux seins de sa conquête. Il les palpait, tirait sur ses tétines et les faisaient rouler : le plaisir montait, montait, encore et encore. Finalement, elle sentit son amant venir dans son vagin, tapissant son utérus de sa semence : il ne lui fallut rien de plus pour atteindre la jouissance, se redressant d’un coup en s’allongeant sur l’inconnu, dont le ventre lui offrait un appui très confortable. Elle s’abandonna l’espace de quelques secondes, sonnée et ravagée par des secousses de plaisir, le long d’un ...