1. Souillure et plaisir (2)


    Datte: 22/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... gémissement saccadé par ses saccades de concupiscence. L’étranger lui pressa la poitrine de ses deux mains, avant de lui fouettant le sein droit. Il avait sa queue toujours profondément ancrée dans son intimité. — Dis donc salope t’y vas pas à moitié. Putain je vais garder les photos comme souvenir ça va être génial : je veux ton numéro et ton adresse, je vais te rendre visite tu vas voir. T’es une vraie chienne. L’homme ricanait : il la releva et lui offrit une fessée magistrale. Profitant de l’état de son amante, il lui écarta les deux fesses et observa un mince filet de sperme perler de sa vulve : il se mit doucement à faire de petits cercles autour de la rondelle de Christine. Finalement, il entra un doigt dans son anus, tout fragile, tout offert, en commençant une série de lent, très lents aller-retours qui paralysèrent la belle de stupéfaction. — T’as tout pris dans la chatte. T’aimes ça hein ? Je vais peut-être t’enculer avant de partir, il a l’air vachement serré celui-là. T’as un cul magnifique, je vais te défoncer le fion. Pour Christine, ce fut le détail de trop : en un éclair d’adrénaline, elle se retourna et envoya de toutes ses forces une gifle à l’inconnu, qui la dévisagea avec surprise. Elle prit son élan, et écrasa son entrejambe de sa chaussure, le sonnant pour de bon. La belle saisit le téléphone, sortit de la cabine et le balança dans les toilettes : ça ne serait plus un problème. Au moins, s’il tentait quoi que ce soit de nouveau, elle pourrait crier ...
    ... pour qu’on lui vienne en aide, sans rien craindre de tordu de la part de ces pervers. Elle était épuisée, honteuse de s’être fait malmenée de la sorte ; et plus encore de son comportement et de son inclinaison, et de la semence chaude qui perlait de sa vulve. Elle se dégoutait : quelle déchéance ! Elle avait encore été souillée, par deux fois ce jour-ci. Elle se rhabilla en pleurant, semblant oublier tout le plaisir qu’elle avait éprouvé envers et contre tout. Christine ramassa sa culotte : elle était grise, et surtout on pouvait distinctement voir du vomi perler entre les filets de sa broderie. C’était le pompon : la belle éclata en sanglot. Elle choisit tout de même de l’enfiler et eut un haut-le-cœur lorsque le tissu entra en contact avec sa toison : il était froid, trempé à tel point qu’il n’avait aucun mal à glisser entre ces fesses : elle le sentait sur sa fente dégoulinante de sperme, sur son petit trou fragile qui avait failli être violenté mais tout de même tyranniser par le gros porc d’à-côté. Elle finit par sortir des toilettes, non sans s’être lavé la figure. En sortant, elle aperçut son premier amant retenir d’autres personnes à l’entrée des toilettes, ce qui expliquait pourquoi elle ne s’était pas faite surprendre pendant l’acte. Complètement abattue, elle lui souffla un « merci » avant de récupérer son sac à main resté sous la surveillance de Louis sans même lui adresser un mot, et partit de l’autre côté du ferry pour ne plus risquer de rencontrer les mêmes ...