1. Ma collègue joueuse


    Datte: 22/01/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte,

    ... légèrement bougé, car elle me fait maintenant complètement face. Seule sa tête est restée dirigée vers son écran. Ses épaules sont orientées vers moi. Je glisse alors mes yeux sous son bureau… Ce que j’y vois fait battre mon cœur si fort, qu’il résonne dans tout mon corps… j’en tremble. Elle a décroisé ses jambes, les a même légèrement écartées, parfaitement dans mon axe. J’y découvre sa lingerie intime, en dentelle orange. Je suis toujours aussi rouge. J’ai chaud. Mon ventre se tord… j’oublie presque de respirer. Elle ne bouge pas, ne me regarde pas. Elle fait l’innocente, face à son PC. Pourtant je vois poindre un sourire sur ses lèvres pincées. Il n’y a pas de doute possible, Sylvie se montre à moi intentionnellement ! Elle écarte encore doucement ses jambes, sa jupe remonte imperceptiblement. Je découvre ses fesses, tendres, appétissantes. Je dévore des yeux sa culotte. Le tissu est très fin, un peu transparent au niveau du pubis. Elle s’allonge un peu dans son fauteuil, écarte encore ses jambes et relève doucement ses fesses. La lumière parvient alors en haut de ses jambes et éclaire ses dessous. L’ombre d’une petite touffe noire apparaît sous le tissu ajouré. Je suis scotché. Paralysé. Je ne peux plus bouger. Je profite de son spectacle intime, sans en perdre une miette. Je ne me cache plus. Dans son petit box, personne d’autre que moi ne peux la voir. Son spectacle n’est que pour moi. Je n’arrive pas à y croire ! Cela dure une éternité, je prends tout mon temps pour ...
    ... la contempler, je ne perds rien, je ne me cache plus. Mais Sylvie continue de travailler ou du moins, faire semblant de travailler : un clic de souris par-ci par-là. Brusquement elle se relève, rajuste sa robe, et part vers l’imprimante récupérer un gros dossier dont elle devait attendre l’édition depuis le début de son exhibition. Est-ce fini ? Que va-t-elle faire ? Elle revient. Toujours sans m’adresser le moindre regard, elle s’assoit, pose son document sur sa table, et s’y plonge résolument. Elle serre les jambes. Son petit jeu semble fini. Mais je la surveille encore du coin de l’œil, j’attends patiemment. Concentrée sur sa lecture, elle s’accoude au bureau et se penche sur ses dossiers. Elle m’offre ainsi un nouveau mirage : son décolleté béant. J’y admire ses seins, enserrés entre les mains de dentelle blanche de son soutien-gorge. Je les imagine doux et délicats. Je rêve de les cajoler tendrement. Je les caresse des yeux. Malgré mes efforts, je ne parviens pas à distinguer ses tétons, ni ses aréoles. Mais je reste là, hypnotisé par sa poitrine. Il est bientôt midi. Sylvie tourne enfin la tête vers moi. Un sourire coquin éclaire son visage. Elle me jette même un petit clin d’œil, puis rassemble ses affaires, prend son sac, et sort du bureau. En passant, elle me lance un « Bon appétit » et disparaît. Je n’ai même pas répondu ! Je suis encore abasourdi. Je ne pense qu’à ce que je viens de voir : une exhibition privée, juste pour moi. Ai-je rêvé ? N’était-ce qu’un fantasme ...
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