Ma collègue joueuse
Datte: 22/01/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
... ? un mirage ? Après la pause déjeuner, Sylvie revient tout sourire, se rassoit, me regarde un instant, puis se replonge, pleine de courage et de détermination, dans sa paperasse, avec la même position complice que ce matin. Là, bouché bée, je me rends compte que son soutien-gorge a disparu. Elle s’accoude sur son bureau, face à moi, et je découvre ses petits seins, petites poires fraîches et tendres, lisses, se balançant librement. Au milieu de ses petites aréoles d’un brun très clair, ses tétons pointent ostensiblement en effleurant le tissu de sa robe. À nouveau, je suis pris tout entier par l’émotion. Ce spectacle magique me paralyse. Elle s’est déshabillée pour moi. Et, en plus de la vision impudique de sa poitrine, elle me dévoile maintenant l’ampleur de son excitation, me laisse percevoir son plaisir. Il est un peu plus de 15h et Sylvie a enfin fini sa lecture. Apparemment, elle se lance maintenant dans la rédaction d’un rapport. Assise à nouveau au fond de son fauteuil, je ne peux plus voir ses seins. Elle croise les jambes, mais sa robe ne glisse pas. J’observe ses jambes, sans toutefois pouvoir distinguer ni ses fesses ni sa culotte. Mais ses chaussures et son bracelet suffisent à entretenir mon exaltation. La tension sexuelle ambiante est presque palpable. Plusieurs collègues passent entre nous. Sylvie ne bouge pas. J’ai peur qu’en passant, ils ne jettent un œil dans son décolleté. Curieusement, je suis jaloux à l’idée qu’elle puisse révéler la beauté de ses seins ...
... à d’autre que moi ! Mais, les pauvres, semblent complètement aveugles. Et je reste seul à connaître le secret de sa poitrine dénudée… Je ne sais pas ce qui l’a déclenché, mais j’ai l’impression qu’un nouveau jeu vient de commencer. Sylvie vient de décroiser ses jambes et se tortille délicatement dans son fauteuil pour s’y allonger tout doucement. Je m’étends aussi un peu dans mon siège. Je m’installe dans l’axe optimal pour ne rien perdre des ses manœuvres sous la table. Je suis prêt. Je suis tout entier concentré sur ses jambes. Je l’implore du regard de m’offrir à nouveau les trésors de son intimité. Elle le sait. Elle le voit. Elle écarte progressivement les jambes. Mes yeux, tels des mains, remontent doucement le long de ses cuisses. Par un lent et sensuel mouvement du bassin, elle me dévoile… son sexe ! Je suffoque. Sa culotte a disparue ! Elle a du l’enlever en même temps que son soutien-gorge ! Je ris même un instant de cette surprise, à laquelle j’aurais pu m’attendre ! Sylvie me gâte encore, et j’en suis plus que ravi ! Je comprends, avec une excitation que je ne peux plus cacher, qu’elle ne porte, en fait, rien d’autre que sa robe légère. Et je découvre, stupéfait, son pubis, puis sa vulve, Graal inespéré de son intimité… Mais elle continue d’écarter les cuisses. Je distingue peu à peu ses petites lèvres, son clitoris. Son sexe luit, inondé de plaisir. Elle comble mes fantasmes de voyeur les plus fous ! Puis, elle se remet tout d’un coup au travail en pianotant sur ...