Les voisins de M - Histoires de Sexe

Les voisins de M

... s’est arrêtés, Véro voulut qu’on couche ensemble. Je n’ai pas accepté. Alors, on a prévu de remettre ça ce soir. C’est pour ça que j’étais pas dans le chalet quand tu es arrivé. — Et vous en êtes où maintenant ?— Pas commencé mais, on t’a entendu arriver et J-L m’a dit que si tu voulais venir que tu serais le bienvenu.— Hier, vous avez baisé ?— Non j’ai pas voulu. Tu veux venir avec moi maintenant ? J’ai envie de jouer avec eux devant toi, avec toi. J’ai aussi envie de te voir jouer avec Véro… Tu viens ?— Je sais pas… Non, je ne les connais pas…— Ils sont super cool… elle, elle est bonne et super extra, lui super sympa. De toute façon, si tu viens pas, j’y retourne toute seule, tant pis pour toi !— Bon, d’accord, je viens, mais je ne te garantis pas que je resterai, ça dépendra de comment les choses vont se dérouler.— Chouette, je suis contente… en plus, je leur ai dit que tu étais très libre, très branché sexe.— Alors, il va falloir que j’assume, j’espère que cette Véronique va me plaire et que lui sache bien s’occuper de toi. M me prend par la main me tirant en avant, pressée de me présenter ses nouveaux copains libertins. J’étais un peu tendu, gêné, les parties carrées, je n’avais pas beaucoup pratiqué. Une fois, avant de connaître ma femme, avec un copain, sa copine et la mienne. Cela c’était bien passé. Excités comme des puces, elles et nous, qu’on était. Elles en ont voulu, alors on leur en a donné. Elles en ont redemandé, nous nous sommes remis à table. Elles en ...

... voulaient encore, nous étions vidé des couilles alors, on les a finies avec la langue et les doigts jusqu’à ce qu’elles n’en puissent plus… Bon souvenir que cette nuit-là. J’espère que ce sera pareil cette fois-ci. Un rideau épais était tendu en travers la porte fenêtre. M l’entrouvrit, entra en me tirant de toutes ses forces. Je crois bien qu’elle craignait que je me dégonfle. J’irai au bout, pour M ! C’était un salon, ne me demandez pas comment il était meublé ce soir-là car, au milieu de la pièce, Véronique était allongée, nue, les jambes écartées largement, face à la porte. Jean-Louis la pénétrait avec un godemiché, il n’arrêta pas immédiatement de la fourrer, s’assurant que je les regardais bien tous les deux. Visiblement, ils tenaient à me mettre « dans le bain ». — Bonsoir… Tu veux bien me remplacer un peu ? Je commence à avoir une crampe au poignet. J-L venait de me dire ça tellement doucement, naturellement, que j’ai eu l’impression que nous nous connaissions depuis des lustres, qu’il me demandait, comme un service à leur apporter, à lui et à sa moitié. Véro, était un peu plus grande que M, cheveux mi-longs, colorés châtain tirant sur le roux. Ses yeux, d’un vert transparent, donnaient l’envie de plonger dans son regard et d’y rester jusqu’à la fin des temps. Sa voix était douce, aussi douce que celle de M. Sa poitrine, deux fois plus grosse. Ses seins, plantureux aux mamelons dressés était une invite permanente. Son ventre lisse et musclé se terminait par un tout petit ...